lundi 29 avril 2019

TOUT-E-S ENSEMBLE , DEGAGEONS CE GOUVERNEMENT ET SON MONDE !

Sans surprise, Macron et son gouvernement ont jeté des miettes à toutes celles et ceux qui se mobilisent depuis des mois sur les ronds-points, dans la rue, sur leurs lieux de travail.

Les principales revendications des Gilets jaunes -(démocratiques, sociales ou écologiques) ont été totalement ignorées, pour un florilège de mesures qui ne font en fait que confirmer les options de l'ultra-libéralisme et le mépris magistral de ce gouvernement pour les classes populaires.

Faire taire le grand blabla présidentiel

Après six mois de mobilisation, pas un mot sur l'augmentation des salaires, des pensions, des allocations, des mesures pourtant salutaires et urgentes pour lutter contre la précarité et la misère.

Face à cela, Macron va continuer de démanteler la fonction publique et dépouiller les services publics, parce qu'il refuse de faire payer les plus riches et défend encore et toujours la suppression de l'ISF.

Et alors qu'il y a un siècle, les travailleur·e·s gagnaient la bataille pour la journée de huit heures, Macron veut aujourd’hui nous faire travailler plus !

L'âge de la retraite sera de fait prolongé par l'augmentation des décotes. Il faudra donc travailler plus longtemps pour obtenir une retraite décente, ce qui pénalisera davantage les plus fragilisés, les femmes et les petites pensions.

Mais est-ce étonnant de la part de celui qui a inspiré la sinistre loi Travail ?

Un système à changer

Macron, Castaner et le gouvernement sont prêts à tout pour nous faire plier. Les mobilisations que nous connaissons tous les samedi en sont l’illustration : ils sont prêts à blesser, mutiler, criminaliser, judiciariser pour faire taire toutes oppositions.

Une violence policière qui est le corollaire de la violence sociale, de la guerre de classe qui s'intensifie.

Face à ce rouleau compresseur capitaliste et à la dérive autoritaire qui l'accompagne, nous devons continuer d'opposer une autre société, un autre monde nécessaire et possible.

Pour vivre et non survivre, il faut récupérer ce qu'ils nous ont volés, imposer une autre répartition des richesses.
L'argent existe, les plus fortunés peuvent donner « rubis sur l'ongle » des centaines de millions pour s'acheter une générosité à bon compte...

Il faut également une réduction massive du temps de travail, pour mieux le répartir entre toutes et tous.

Pour en finir avec une société qui exploite toujours plus ceux qui sont en activité alors qu'elle laisse des millions d’autres au chômage ou dans la précarité.

Il faut également refuser un monde qui opposent les travailleur·e·s du monde entier, par une solidarité sans faille avec les migrantEs : pour la liberté de circulation et d’installation, pour l'ouverture des frontières.

Amplifier et converger, c’est le moment !

Ni la répression ni les annonces dérisoires de Macron ne doivent entamer notre détermination.
Nous devons gagner cette confrontation avec le pouvoir, engagée par les Gilets jaunes depuis le 17 novembre.
Et pour être plus fort, nous devons unifier nos résistances et frapper ensemble nos ennemis communs, le Medef et son gouvernement.

Dans la continuité de la mobilisation de samedi dernier (qui a vu la convergence entre Gilets jaunes, militant·e·s syndicaux, associatifs et politiques) et des manifestations du 1er mai,
à Clermont-Ferrand : 10H00 Place Delille, à Thiers :10H30 place de la Mairie, à Riom :10H30 face a la poste, à Issoire : 10H00 à la Halle aux grains, à St Eloy les Mines :10H00 entrée SUD, à Aurillac : 10H30 Place des droits de l’homme, à Montluçon : 10H30 Place Piquand, à Moulins : 10H30 Place de la liberté, à Vichy : 10H30 Place de la poste, au Puy en Velay : 10H place de la Cadelade

L'enjeu des prochaines semaines est donc d’amplifier et de faire converger les mécontentements.

Le jeudi 9 mai, la journée de grève de toute la fonction publique sera l'occasion de construire une nouvelle étape dans la mobilisation et la riposte générale pour dégager ce gouvernement et tout son système.


vendredi 26 avril 2019

Communiqué du NPA : Conférence de presse de Macron : tout ça pour ça ?

Plus de deux heures d’enfumage !

Sans surprise, la conférence de presse de Macron, supposée être la conclusion du « grand débat » et, par là-même, la réponse aux revendications des Gilets jaunes, n’aura été encore une fois qu’une grande comédie.

Dès le début, la messe a été dite quand Monsieur Blabla, au bout de quelques minutes, a annoncé que « les orientations menées depuis deux ans sont bonnes. Elles doivent donc être préservées, poursuivies et intensifiées... ».

Macron a donc rejeté très rapidement les revendications portées depuis six mois sur les ronds-points et dans la rue pour plus de démocratie, de justice fiscale et d’égalité sociale.

Rejet en bloc de toute mesure permettant une plus grande démocratie, à part quelques aménagements institutionnels de l’existant

Refus de toute réforme permettant plus de justice fiscale et donc une autre répartition des richesses, avec  cerise sur le gâteau – un plaidoyer en défense de la suppression de l’ISF !

Rien – ou presque non plus sur le pouvoir d’achat, même sil va réindexer sur l’inflation les petites retraites.

Rien de concret sur l’urgence écologique et climatique.

Et rien sur la répression et les violences policières.
Enfin, concernant les services publics, Macron veut nous faire croire qu’il va faire mieux avec moins d’argent et moins de postes…

En revanche, pour Macron, digne exécutant des désirs du Medef, il faudra désormais travailler plus et plus longtemps !

Au passage, on notera les clins d’œil appuyés à l’électorat d’extrême droite, avec les discours belliqueux contre l’ « islam politique » et l’insistance sur la nécessité de se « protéger » derrière des frontières, celles-là même qui tuent des milliers de migrant-e-s chaque année en Méditerranée.

Fidèle à sa morgue et à son mépris habituel,
Macron reste donc droit dans ses bottes.

Ce n’était pas une conférence de presse, mais un véritable appel pour descendre à nouveau dans la rue ces prochains jours : à commencer par ce samedi 27 avril, lors d’une manifestation de convergences entre militant-e-s syndicaux de la CGT, Gilets jaunes, associations et partis politiques.

Puis, après la journée de mobilisation du 1er mai, le 9 mai, journée de grève de toute la fonction publique, qui marquera une nouvelle étape dans la mobilisation, pour qu’enfin notre colère et nos revendications soient entendues et que Macron remballe toute sa politique.


jeudi 25 avril 2019

27 AVRIL, 1ER ET 9 MAI, ET APRÈS… CONSTRUISONS LA RIPOSTE GÉNÉRALE À MACRON

Macron essaye de redorer son blason en s’appuyant sur l’incendie de Notre-Dame. Il nous appelle à l’Union nationale, à « retrouver le fil de notre projet national », ramenant les revendications sociales à « la politique et ses tumultes »...

Il essaie de faire oublier qu’il détruit nos conditions de vie et de travail en cassant les services publics, en particulier celui de l'éducation, alors que l’incendie de Notre-Dame est avant tout le résultat de la pénurie budgétaire, du manque d’entretien des monuments historiques.

Il laisse le grand patronat s’enrichir... et apparaître généreux en donnant des miettes pour reconstruire la cathédrale, des miettes en réalité payées par l’État puisqu’elles sont déductibles des impôts !

Enfin, il méprise la mobilisation des Gilets jaunes et des salarié·e·s, notamment de l’Éducation nationale, dans les entreprises, en lutte contre les attaques gouvernementales, contre les licenciements et la précarité.

Ne pas laisser Macron nous tromper

La vieille tactique - se servir d’un drame pour faire croire à des intérêts communs entre les plus riches et le monde du travail - ne fonctionne plus, les gouvernements précédents l’ont trop usée.

Il n’y a pas un pouce à céder à ce gouvernement, d’autant plus que dans le même temps, celui-ci réprime les libertés publiques comme jamais.

Ainsi, lors du 23e Acte des Gilets jaunes, un nouveau cap a été franchi en s'attaquant aux journalistes. La police a commis des violences directes contre eux : certains ont été directement visés par des LBD, d’autres arrêtés pour « violences ou dégradations », une caméra étant qualifiée d’« arme par destination »...

Cette répression intervient alors que les mobilisations continuent et tentent de converger : celle des Gilets jaunes qui continue ; dans l’Éducation nationale contre la loi Blanquer qui vise à décupler la sélection sociale et à précariser les personnels ; contre les licenciements, en particulier dans l’automobile ; pour les salaires dans les entreprises, faisant écho à la mobilisation des Gilets jaunes pour le pouvoir d’achat.

Se saisir des dates de mobilisation pour faire plier le gouvernement

Chaque samedi, les Actes des Gilets jaunes jouent un rôle capital de contestation contre le gouvernement et le patronat. Ce samedi 27 avril, de nombreuses fédérations et unions départementales de la CGT appellent à manifester à Paris contre le gouvernement avec le soutien de nombreux Gilets jaunes.

Le NPA s’associe pleinement à cet objectif de faire converger les luttes et les revendications.

La mobilisation continuera avec les manifestations du 1er Mai et la grève dans la fonction publique le jeudi 9 mai. Celle-ci doit être le point départ d’une lutte prolongée contre les suppressions de postes et la précarisation de la fonction publique. Ce sera un point d’appui important pour infliger une défaite politique au gouvernement.

Nous ne devons pas laisser le gouvernement se servir de Notre-Dame ou des élections européennes pour effacer notre colère.

L’issue de la séquence de lutte entre Macron et les classes populaires que nous vivons depuis plusieurs mois dépend ces prochains jours de notre détermination et de notre capacité à entrer tou·te·s ensemble dans l’action.




mardi 23 avril 2019

ASSEZ DE RÉPRESSION CONTRE LES JOURNALISTES !

Communiqué du NPA du 23 février 2019





Deux journalistes indépendants, Alexis Kraland et Gaspard Glanz ont été interpellés samedi dernier à Paris, lors de l'acte 23 des Gilets jaunes. Des interpellations qui semblent être l’un des résultats de la loi dite « anticasseurs » qui permet dempêcher des gens de manifester sur simple supposition dintentions. En témoignent les motifs invoqués pour les interpellations…



La police a ainsi considéré que la caméra dAlexis Kraland était une « arme par destination » et que la présence de Gaspard Glanz dans la manifestation constituait une « participation à un attroupement en vue de commettre des violences ».



Serait-il donc devenu interdit

de se rendre en manifestation

et dy aller avec un appareil photo ?



La non détention d'une carte de « journaliste professionnel » n'est pas une raison de les empêcher de travailler, et le fait qu'ils soient des journalistes « engagés » non plus. La police na certainement pas à décider quel journaliste a le droit de faire son travail !



Alexis Kraland est sorti après 8 heures de garde à vue et n’a donc pas pu couvrir la manifestation. Gaspard Glanz a passé 48 heures en garde à vue, son procès est prévu pour octobre et que d’ici là il lui est interdit de couvrir les manifestations à cause… d'un doigt d'honneur qui lui vaut inculpation pour « outrage à agent ».



L'arrestation de Gaspard Glanz n'a rien à voir avec ce prétexte. La raison de cet acharnement est que ce journaliste dérange, que ses vidéos ont mis à mal le gouvernement en dévoilant une partie des actions dAlexandre Benalla il y a un an, quelles ont servi à montrer les violences policières et à démasquer des policiers infiltrés en manifestation et déguisés en journalistes.



Le gouvernement veut des journalistes à sa botte et cherche à limiter le droit d'informer et la liberté d'expression pour tous les autres.



Le NPA, à l’instar des syndicats de journalistes et de nombreuses sociétés de rédaction, tient à apporter son soutien à Alexis Kraland et à Gaspard Glanz, ainsi qu'à tous les journalistes de terrain qui subissent d'une manière ou d'une autre la répression.



Nous exigeons le retrait de la loi dite « anticasseurs », et dénonçons la dérive autoritaire de ce gouvernement qui réprime les manifestations et toutes celles et ceux qui osent dénoncer sa politique, et qui limite gravement la liberté de la presse.




LE SAMEDI 27 AVRIL, SYNDICATS, GILETS JAUNES ET MILITANT-E-S ASSOCIATIFS ET POLITIQUES POUR UNE RIPOSTE GÉNÉRALE !

Communiqué du NPA du 23 AVRIL 2019





À quelques jours du 1er Mai, journée internationale de lutte du monde du travail, lappel lancé au départ par des fédérations et unions départementales de la CGT à se retrouver à Paris lors de lActe 24 des Gilets Jaunes est une date importante. 



Acte de convergence, il sagit du premier appel national lancé en commun par des organisations syndicales, des Gilets Jaunes, des associations, personnalités et partis politiques.



Il y a urgence à réussir un véritable « tou-t-e-s ensemble » pour remporter enfin une victoire contre Macron et son gouvernement des riches.



À nos résistances éparpillées, le gouvernement oppose loffensive centralisée de la répression policière et judiciaire qui brise des vies, loffensive centralisée des lois quil fait voter par sa majorité aux ordres, loffensive idéologique qui vise à discréditer toute forme de contestation issue de la jeunesse, des salarié-e-s, des privé-e-s demploi, des quartiers populaires ou des retraité-e-s, avec ou sans gilets.



Cet appel exprime la détermination de celles et ceux qui sont mobilisés depuis des mois, et pas seulement le samedi, sur les ronds-points, dans les grèves, dans les blocages, dans les occupations : se retrouver au même endroit au même moment pour frapper ensemble notre adversaire commun, le gouvernement du Medef et des plus fortunés.

 Il sagit donc de construire une contre-offensive qui porte nos exigences communes, à la fois en termes défensifs mais aussi offensifs : avec une autre répartition des richesses par des augmentations des salaires, des pensions et des minimas sociaux, par le développement des services publics d’éducation, de santé, de la dépendance, du logement et des transports dans les quartiers populaires et les territoires ruraux, nous ne réclamons que notre dû et le droit de décider de lusage du produit de notre travail.



Nous avons besoin de réussir la manifestation nationale de ce samedi 27 avril à Paris, et de préparer le 1er mai et le 9 mai, journée de grève dans toute la fonction publique, pour renforcer les luttes entamées par les enseignant-e-s et les parents d’élèves contre les réformes de Blanquer et par les hospitalier-e-s contre la casse de l’hôpital.



Lenjeu de ces prochains jours est bien de préparer la suite : l’élargissement des luttes, en particulier par les grèves, pour bloquer le pays. C’est pourquoi le NPA, avec en particulier la présence de Philippe Poutou, sera présent à cette manifestation qui partira à 13h de Montparnasse.




dimanche 21 avril 2019

FESTIVAL CINÉMA SOCIAL ET ENGAGE à ST GENES CHAMPANELLE, LE SAMEDI 27 AVRIL


Après quelques années d'interruption, l'équipe de l'association PDB 63 IMAGES organise une nouvelle édition du



FESTIVAL DE CINÉ DOCU SOCIAL ET ENGAGE

LE SAMEDI 27 AVRIL 2019

A l'affiche 7 films , 7 débats de 14h à 23h

Maison des Associations

+ Grange ST GENES CHAMPANELLE(63)

ENTRÉE PRIX LIBRE



Buvette + camion repas Bio " La Bouche à l'endroit" sur place



Possibilités de covoiturage pour s’y rendre, rien de plus simple



suivez le lien : http://www.movewiz.fr/participation?PMW=72VPFzvKxpL7o4733 en un coup d'œil vous voyez quels participants pourraient covoiturer avec vous, contactez les ... tout est sur la carte.



Soyons nombreux



à lire le programme ci-dessous :







mercredi 17 avril 2019

STOPPER LA RÉPRESSION, ÉTENDRE LA MOBILISATION, CONVERGER CONTRE MACRON

Pour certains éditorialistes, ce lundi devait être un « tournant » dans le quinquennat de Macron. Mais l’allocution télévisée du président n’a pas eu lieu, et ce sont les images de l’incendie de Notre-Dame qui ont, durant plusieurs heures, envahi les écrans…

Mardi soir, avec sa courte allocution (dans tous les sens du terme), Macron a voulu décréter une « trêve » politique, au nom de « l’unité nationale ».

Pourtant, le face-à-face se poursuit entre, d’une part, un gouvernement qui refuse de faire la moindre concession et qui a confirmé le week-end dernier sa politique du tout-répressif et, d’autre part, d’importantes fractions des classes populaires qui n’entendent pas renoncer à se faire entendre.

Indécence de Macron et des siens

Macron rend hommage aux centaines de pompiers mobilisés pour éteindre le terrible incendie de la cathédrale alors que son gouvernement organise une véritable saignée dans les services publics, y compris ceux qui permettent de sauver des vies comme à l’hôpital.

Indécence également devant la mise en scène de ces grandes fortunes feignant la générosité alors qu’elles bénéficient de toujours plus d’allègements fiscaux, que les dons annoncés seront défiscalisés à hauteur de 60, 66, voire 90 %, et que ces centaines de millions trouvés comme par magie ne sont jamais disponibles lorsqu’il s’agit d’augmenter les salaires... ou de payer les impôts !

Indécence enfin face à ces discours évoquant la « douleur partagée » lorsqu’ils viennent des mêmes qui chaque semaine envoient leurs flics réprimer, blesser, mutiler, pour faire taire celles et ceux qui ont l’audace de manifester pour revendiquer des droits élémentaires.

Les appels à l’unité, les hypocrites déclarations d’amour pour les services publics ou la vraie-fausse générosité des rapaces du CAC 40 ne peuvent que révolter lorsque l’on sait que les destructions du patrimoine historique, soudain présenté par les gouvernants comme « notre bien le plus précieux », résultent souvent de choix politiques calamiteux : les coupes budgétaires, le désinvestissement dans la sauvegarde et l’entretien du patrimoine, l’insuffisance des normes de sécurité sur les chantiers patrimoniaux (et sur l’ensemble des chantiers des bâtiments publics)...

L’heure est toujours à la lutte

Le temps n’a pas été suspendu par l’incendie de Notre-Dame, et l’attitude de Macron comme celle de ses amis milliardaires encouragent à poursuivre une lutte déterminée contre ses politiques.

Et ce ne sont pas les quelques informations qui ont opportunément fuité sur les annonces que pourrait faire Macron ces prochains jours qui pourront éteindre la colère : un prétendu « moratoire » sur les fermetures d’écoles et d’hôpitaux alors que ce sont des dizaines, voire des centaines de milliers d’emplois qu’il faudrait créer dans les services publics ; des miettes qui ne sortiront pas une majorité de retraité-e-s de la misère ; une prime de fin d'année sans cotisations sociales qui reste au bon vouloir des patrons ; la « baisse des impôts des classes moyennes », alors que ce sont des augmentations de salaires, le rétablissement et l’augmentation des impôts pour les plus riches et la suppression des taxes pour les plus pauvres qui sont revendiqués...

Pour en finir avec les politiques au service du CAC 40,
pour la justice sociale et climatique,
contre l’arrogance, le mépris et la répression,
la lutte continue.

Les prochains actes des Gilets jaunes, la journée du 1er mai et la grève dans toute la fonction publique le jeudi 9 mai sont autant d’étapes dans la construction de l’élargissement, des convergences nécessaires pour construire un mouvement d’ensemble qui pourra faire réellement reculer Macron.