mercredi 28 octobre 2020

LE CAPITALISME ATTAQUE LA CLASSE OUVRIÈRE DANS LE PUY DE DÔME COMME SUR TOUT LE TERRITOIRE : LICENCIEMENTS, BAISSE DES SALAIRES, AUGMENTATION DES EMPLOIS PRÉCAIRES

 

Chez Constellium, la direction menace l'ensemble du personnel et particulièrement le secrétaire de la CGT. Vendredi 23 octobre lors du vote organisé  pour son licenciement. La direction à force d'additionner les mensonges, s’est vu opposer un vote à l'unanimité contre cette sanction (CGT, FO, CGC) première victoire.

La mobilisation AUCHAN de début octobre c'est avérée une réussite, mais les menaces sur l'emploi restent présents 

Chez Luxfer  à Gerzat, les salariés licenciés sont toujours en attente d'une possible reprise du site.

LA MAS « LES BICHES » à Billom, la lutte continue pour obtenir la prime de 183 Euros au même titre que l’ensemble de l’hôpital .

L'entreprise DIETAL  de St Georges de Mons,le personnel est  désespéré tout le travail qui arrive est aussitôt envoyé directement en Roumanie,les employés de l entreprise sont vigilants  face aux mesures qui peuvent être prises.

Face à cette déclaration de guerre sociale, le NPA reste offensif et se battra pour le pouvoir des travailleuses et travailleurs et le partage des richesses



mardi 27 octobre 2020

CRISE SANITAIRE, MESURES LIBERTICIDES, OFFENSIVE RACISTE, STOP !

 

Depuis plusieurs jours, le sentiment de s’enfoncer, d’aller de pire en pire, s’installe : une « deuxième vague » virulente de la pandémie se développe ; l’extension du couvre-feu à de nouveaux départements et le vote du prolongement de « l’état d’urgence sanitaire » montre un pouvoir qui n’a que l’autoritarisme comme politique de santé publique ; une large campagne islamophobe menée par les politiques et largement relayée par les médias fait suite à l’horrible assassinat de Samuel Paty.

Plus que jamais, il faut résister.

Face au Covid-19, un pouvoir incapable mais autoritaire

Il n’aura fallu que trois petits jours pour faire mentir Véran, le ministre de la Santé. Alors qu’il prédisait jeudi dernier la possibilité d’atteindre les 50 000 infections au Covid-19 dans deux semaines si rien n’était fait, le chiffre était atteint trois jours plus tard ! Un bel aveu d’impuissance face à cette nouvelle vague pourtant prévue de longue date.

Dans beaucoup d’hôpitaux, il n’y a déjà plus de lits de réanimation, les services dédiés à la gestion de la pandémie sont saturés, et les personnels fatigués. Qu’a fait ce gouvernement ces derniers mois pour préparer les établissements de santé à cette nouvelle réplique, si ce n’est distribuer des dizaines de milliards aux seules entreprises ?

Ce que Macron, Castex, Véran et cie ont à nous proposer, ce n’est pas une politique cohérente s’appuyant sur des protocoles sanitaires stricts sur les lieux de vie, d’études et de travail, des moyens pour les hôpitaux et des protections gratuites (masques en particulier) pour l’ensemble de la population… mais la seule perspective de nouvelles formes de confinements pour ces prochaines semaines et le prolongement de l’état d’urgence sanitaire pour ces quatre prochains mois.

Après l’extension du couvre-feu, ce régime d’exception, marqué par une limitation des libertés et voté samedi dernier à l’Assemblée nationale, ne peut pas plus tenir lieu de réponse sanitaire. Mais que l’on se rassure, la « vie économique », c’est-à-dire la bonne marche de la machine à profits capitaliste, devrait de toute façon continuer…

Combattre la vague raciste et islamophobe

Dans le même temps, depuis l’horreur de Conflans-Saint-Honorine, pas un jour sans de nouvelles violences, symboliques ou concrètes, contre les musulman.e.s : dégradation de mosquées, agression armée contre des femmes voilées près de la Tour Eiffel, appels au meurtre contre des militantEs de diverses organisations musulmanes – ou supposées telles, etc. Et à un niveau moindre, diverses organisations, personnalités et militant.e.s de gauche ont également été ciblés : tag « collabos » sur le siège du PCF, violentes campagnes contre les député.e.s de La France insoumise, accusations odieuses proférées contre des journalistes, menaces de mort contre des militant.e.s politiques et syndicaux, etc.

Le gouvernement porte une lourde part de responsabilité dans ce déchaînement de violence et de haine racistes. D’un Gérald Darmanin jetant en pâture des millions de musulman.e.s en établissant une continuité entre « rayons halal » et « séparatisme » à un Jean-Michel Blanquer s’en prenant aux « islamo-gauchistes » qui auraient « gangréné » les universités, les vannes sont grandes ouvertes et pavent la voie à l’extrême droite la plus rance. Et les autorités de s’en prendre au CCIF dont le rôle est précisément de venir en aide aux victimes de l’islamophobie…

Alors que soufflent ces vents mauvais, dans une situation rendue compliquée par le rebond de la crise sanitaire, l’heure reste à la construction d’une riposte unie.

Plus que jamais, notre camp social et ses organisations doivent se mobiliser pour défendre notre droit à vivre en bonne santé, nos libertés, et combattre le racisme, en particulier l’islamophobie.

Ceux d’en haut font feu de tout bois, à nous de faire front.



vendredi 23 octobre 2020

SOUTIEN DU NPA À TOUTES LES MOBILISATION ACTUELLES ET À VENIR

 

Le capitalisme attaque la classe ouvrière et ses représentants. Il s'en prend au service public de santé, il encaisse les millions de cadeaux offerts par le gouvernement et en même temps il licencie, il baisse les salaires et accentue les contrats précaires.

NOUS DEVONS TOUTES ET TOUS LES SOUTENIR

ET LUTTER TOUS ENSEMBLE

DE MANIÈRE OFFENSIVE

POUR AFFRONTER CETTE DÉCLARATION

DE GUERRE SOCIALE.

*CONSTELLIUM à Issoire : la direction licencie, baisse les salaires et en plus fabrique de toutes pièces une dossier pour virer le secrétaire de la CGT.

*AUCHAN : la famille MULLIEZ ( propriétaire) licencie sur 3 sites, mais aussi chez Top Office , Alinéa…

*LUXFER à Gerzat : les employé.e.s licencié.e.s se sont battus et continuent de se battre pour sauver leur usine et leurs emplois et sont en attente d’une hypothétique reprise du site, qui est sans cesse freinée.

Les salarié.e.s de Valéo à Issoire, mais aussi d’Aubert et Duval aux Ancizes et à Issoire vont payer les conséquences de cette crise, avec de nombreux licenciements à la clef et une dégradation de leur condition de vie.

CE N’EST PAS À NOUS DE PAYER LA CRISE

MAIS AUX CAPITALISTES !

*LA MAS « LES BICHES » rattachée à l’hôpital de Billom : le personnel réclame les mêmes droits que leurs collègues des services de l’hôpital et des EHPAD à savoir une revalorisation des salaires et des primes promises).

Le NPA défend les services publics et leurs développements et sera toujours présent dans la lutte contre la privatisation et la marchandisation de la santé.

Il est temps de faire converger toutes ces luttes, seule solution pour gagner sur nos revendications et abattre notre ennemi commun le capitalisme.

AVEC LE NPA

POUR LE POUVOIR

AUX TRAVAILLEUSES ET TRAVAILLEURS

POUR LE PARTAGE DES RICHESSES


mercredi 21 octobre 2020

HORREUR À CONFLANS-SAINTE-HONORINE : COLÈRES , SOLIDARITÉS, ET REFUS DES AMALGAMES

 

Le NPA a reçu avec effroi, vendredi 16 octobre, la nouvelle de l'assassinat par décapitation de Samuel Paty, enseignant d’un collège à Conflans-Sainte-Honorine.

Toutes nos pensées se sont immédiatement tournées vers sa famille, ses ami.e.s, ses élèves et ses collègues, et plus largement vers l'ensemble des personnels de l'éducation, évidemment ébranlés par ce crime atroce.

Un assassinat insupportable

Samuel Paty a été tué en raison de son métier et de ses choix. Ce crime horrible est un indice supplémentaire d’une société qui se désagrège.

Ce monde toujours plus violent ,fait de guerres, d’oppressions, d’inégalités, de misère, constitue un terreau toujours plus favorable aux idées les plus réactionnaires et mortifères, à l’instar de l’idéologie jihadiste, porteuse d’un projet de société auquel nous sommes tout aussi opposés que nous le sommes à celui des extrêmes droites occidentales.

Le NPA condamne évidemment cet acte ignoble et insiste sur le fait que, quelles que soient les conclusions de l'enquête, rien ne peut justifier un tel assassinat.

C’est pourquoi nous nous sommes joints, et continuerons de nous joindre, aux initiatives permettant d’exprimer deuil, colère et solidarités suite à ce drame, tout en refusant toute logique d’union nationale avec les faux-amis des enseignant.e.s et les tenants d’une fuite en avant répressive et d’une stigmatisation accrue des musulman.e.s...

L’offensive islamophobe du pouvoir

Un discours de haine et de division s’est immédiatement imposé dans l’espace public, propulsé aussi bien par la droite extrême et l’extrême droite que par le gouvernement Macron-Castex.

Ce dernier prétend ne pas vouloir faire d’amalgames... mais assimile l’acte d’un fanatique avec des organisations religieuses, voire avec toute une religion, ou avec des associations comme le CCIF, dont l’activité consiste à défendre juridiquement les musulman.e.s contre les discriminations qu’ils et elles subissent...

Surenchère autoritaire et répressive, couvre-feux, violences policières et racistes, interdiction des manifestations… Ce n’est pas un hasard si de telles attaques se multiplient dans cette période d’une crise économique, sociale, écologique et sanitaire sans précédent.

Alors que le chômage et la précarité se développent partout, ceux qui nous gouvernent cherchent à imposer lidée dune menace venue de l’intérieur, à se dédouaner de leurs propres responsabilités et à nous affaiblir.

Le racisme, en particulier l’islamophobie, est un outil pour obliger une partie de la population à rester docile face à leurs politiques.

Contre leur union nationale, pour une autre société

Notre réponse à une société de plus en plus violente et injuste, où la misère sociale se développe, se trouve dans la reconstruction de solidarités de notre camp social, des classes populaires, contre ceux d’en haut.

C’est ce qu’a fait la Marche nationale des solidarités, avec la mobilisation en défense des sans-papiers, une réponse pour construire une émancipation collective.

Les mobilisations à construire contre le racisme, contre les licenciements, pour le partage du temps de travail sans perte de salaire ou contre les mesures liberticides comme le couvre-feu, sont d’une urgence absolue.

Alors que le capitalisme nous emmène dans le mur, nous en appelons à toutes les organisations de gauche, du mouvement social, à refuser l’union nationale avec ceux qui nous gouvernent pour mettre de toute urgence sur le devant de la scène nos revendications sociales, pour l’égalité dans une société où chacun.e pourra vivre librement et dignement.



dimanche 18 octobre 2020

APRÈS LE DRAME DE CONFLANS-SAINTE-HONORINE : COLÈRE, SOLIDARITÉS, REFUS DES AMALGAMES

 

Communiqué du NPA du 17 octobre 2020


Le NPA a reçu avec effroi la nouvelle de l'assassinat par décapitation d'un enseignant de collège à Conflans-Sainte-Honorine, ce vendredi 16 octobre.

Toutes nos pensées vont à sa famille, ses ami.e.s, ses élèves et ses collègues, et plus largement à l'ensemble des personnels de l'éducation, évidemment ébranlés par ce crime atroce. 
Le NPA condamne cet acte ignoble. Quelles que soient les conclusions de l'enquête, rien ne peut justifier un tel assassinat. Nous rappelons notre attachement indéfectible à la liberté d'expression et à la liberté pédagogique des enseignant.e.s. 
Depuis le drame, Emmanuel Macron et Jean-Michel Blanquer jouent la surenchère, multipliant les déclarations damour aux enseignant.e.s, pour lesquels ils nont que mépris le reste du temps, et vantant le rôle essentiel de l’école, quils nont cessé de détruire ces dernières années. 
Difficile, en outre, de ne pas sindigner de lhypocrisie dun Blanquer défendant la liberté d’expression des enseignant.e.s lorsque lon sait à quel point la chasse aux récalcitrants est organisée dans l’Éducation nationale, à l’image des quatre enseignant.e.s de Melle sanctionnés pour s’être mobilisés contre la réforme du bac. 
Le gouvernement participe, de surcroît, à la surenchère islamophobe, établissant un lien entre la tragédie de Conflans-Sainte-Honorine et son projet de loi sur le « séparatisme », dont la logique est de renforcer encore un peu plus lamalgame entre musulman.e.s, intégristes et terroristes. 
Loin daller à l’encontre du déchaînement de haine islamophobe auquel nous assistons depuis hier soir, le pouvoir y contribue, renforçant les fractures sur lesquelles prospèrent les fauteurs de haine, les idéologies mortifères et les fanatismes religieux, ennemis des travailleur.e.s et des peuples. 
Notre solidarité est totale avec les proches, les ami.e.s et les collègues de Samuel Paty, et plus généralement avec lensemble du corps enseignant, éprouvé par cet assassinat.

Le NPA se joindra aux initiatives permettant dexprimer deuil, colère et solidarités suite à ce drame, tout en refusant toute logique dunion nationale avec les faux-amis des enseignant.e.s et les tenants dune fuite en avant répressive et dune stigmatisation accrue des musulman.e.s. 

Sur Clermont-Ferrand, après le rassemblement de samedi ayant réuni plus de 200 personnes, un nouveau rassemblement soutenu par les syndicats enseignants aura lieu dimanche 18 octobre à 15H Place de Jaude


 

 

jeudi 15 octobre 2020

NON AU COUVRE-FEU, DES MOYENS POUR LA SANTÉ !

 

Communiqué du NPA du 14 octobre 2020


La mesure était sortie dans les médias comme un ballon dessai, et Macron vient de le confirmer. Incapable de répondre à l’épidémie depuis son arrivée en France, le pouvoir na aujourdhui comme unique réponse à proposer que le couvre-feu de 21h à 6h dans les zones géographiques à risque, soit l’Île-de-France et huit métropoles.

Une nouvelle mesure de restriction des libertés individuelles au nom de la lutte contre le Covid-19, alors que cette deuxième vague na rien dune fatalité.

Le sens fondamental de cette nouvelle mesure, Macron ne s’en est même pas caché, c’est que « la vie économique », c’est-à-dire la machine capitaliste à faire travailler la majorité pour le profit de quelques-uns, ne peut pas s’arrêter, ne doit pas s’arrêter, coûte que coûte...

Dans quelques jours, nous aurons donc le droit de porter à peu près partout des masques que nous aurons dû nous-même acheter, de nous entasser dans les transports en commun et au travail, au détriment de la distanciation physique… mais par contre il sera impossible d’avoir un minimum de vie sociale, familiale, amicale, de distraction, en dehors de son boulot !

Depuis des mois, Macron et ses amis nont rien fait pour éviter ce rebond de l’épidémie. Sans aucune organisation, la politique de dépistage s'est effondrée, permettant juste aux labos privés de « faire du chiffre » mais pas de briser les chaînes de contagion.

Et les hôpitaux n'ont ni recruté ni formé les personnels pour faire face à l'épidémie. Il ny a eu aucun plan douverture de lits, comme le demandent pourtant les hospitalier.e.s et leurs syndicats qui se mobilisent à nouveau demain et pour lesquels Macron n’a visiblement rien à proposer.

À l’évidence, le traitement sanitaire de cette épidémie, qui passe par le développement de notre système de santé, de ses établissements, n’est pas le soucis de ce gouvernement.

Le pouvoir croit-il vraiment que nous allons accepter ces mesures improvisées et incohérentes, et ces attaques contre nos droits sociaux et nos libertés alors qu’aucune politique publique sanitaire n’est réellement mise en œuvre ?

C’est l’inverse de ce que fait le gouvernement qu’il faut défendre.

Le NPA construira et soutiendra toutes les mobilisations portant des mesures d’urgence sanitaire et sociale : la gratuité des protections (masques), la réquisition des laboratoires d’analyse médicale pour organiser la politique de dépistage, louverture massive de lits et lembauche de 120 000 personnels soignants à l’hôpital sur postes statutaires, avec des revalorisations salariales de 300 euros pour tout.e.s.

Des mesures qu’il faudra leur arracher, par la lutte, jour et nuit s’il le faut.

Le NPA va prendre au plus vite contact avec l’ensemble des organisations progressistes pour construire une riposte collective aux plans que nous réserve Macron pour les mois qui viennent.


 

lundi 12 octobre 2020

LA FAMILLE MILLIARDAIRE MULLIEZ , PREMIÈRE DANS LA DESTRUCTION D’EMPLOIS !

 


Alinéa, top office, Auchan…

la casse sociale est en marche.



Fermeture, licenciements, suppressions de postes...tout est bon pour augmenter les dividendes des actionnaires familiaux milliardaires.

Il est vrai que le système capitaliste, dont le gouvernement est son zélé serviteur, donne tous les outils pour augmenter leur fortune déjà colossale ( estimée à 30 milliards d'euros).

La réorganisation d'Auchan, décidée unilatéralement par la direction générale, en est un triste exemple.

Plus de 1400 suppressions de postes, la fermeture de l'atelier de découpe de viande à Lieusaint avec 57 licenciements, la fermeture des SAV (9 centres sur 11), des suppressions de postes en RH, compta, service du personnel,...bref une vrai boucherie sociale!

Sans compter la réorganisation du service d'encaissement (secteur caisse), qui reste une des pire fourberie de ce plan funeste.

Avec un objectif de remplacement des caisses traditionnelles à hauteur de 80% par des caisses autonomes (caisse sans présence humaine refusant le paiement en espèce!), les hôte.ss.es de caisse, érigé.e.s en héros lors de la crise sanitaire, verront leurs postes disparaître.

C'est dans ce contexte, que la fédération CGT du commerce a décidé d'organiser une journée de grève et de rassemblement le 8 Octobre, à Croix, devant le siège social d'Auchan. Leroy Merlin, Décathlon, Alinéa, Top Office, Auchan, les salariés de la galaxie MULLIEZ ont répondus présents.

La police nationale, milice du capital, protégeait, de l'intérieur de l'entreprise, les complices de ce véritable hold-up !

Car, rappelons tout de même, que l'état a versé pas moins de 500 millions d'euros de CICE à cette entreprise qui supprime l'emploi, tout en reversant, ces dernières années, 2 milliards d'euros à ses actionnaires familiaux.

Localement, la logistique prend chère, avec, pour notre seul entrepôt situé à Cournon, plus de 50 suppressions.

Pas étonnant, dans ce contexte, que pour la journée de grève intersyndical, CGT FO CFDT du 8 Octobre, 80% des salarié.e.s ont répondu présents, également rejoints par celles et ceux travaillant dans les hypers et supers AUCHAN du Puy de Dôme.

Pas moins de 80 postes

seront supprimés

sur notre département.

Seule la construction d'un rapport de force puissant, avec l'ensemble des salarié.e.s d'Auchan, mais également de tous les secteurs, permettra de préserver notre outil de travail et nos emplois.

3 vidéos interviews

du délégué syndical CGT Auchan Nord