lundi 28 décembre 2020

SOUSCRIPTION NPA 2020 : DERNIÈRE LIGNE DROITE

 

Pour participez à la souscription annuelle du NPA, n’hésitez pas ,c’est maintenant qu’il faut le faire,

Pour souscrire en ligne :

https://souscription.npa2009.org



L’argent reçu nous permettent de boucler notre budget

: voyages pour nos réunions, notre fonctionnement démocratique, impression d'affiches, de tracts, soutien à d'autres collectifs de luttes, à notre presse L’anticapitaliste et notre librairie La Brèche.

Mais aussi de pouvoir mener nos différentes campagnes pour défendre nos idées et être le plus utile possible pour construire les mobilisations, de façon unitaire, et batailler pour changer le monde.

Même les petits dons sont importants pour nous, nous comptons sur vous !

Merci par avance de votre participation

Merci de relayer largement ce message

cartons souscription

La souscription permet une déduction fiscale des deux tiers du montant versé : VOUS DONNEZ 3€, LE PARTI EN REÇOIT 3, L'ÉTAT VOUS EN REVERSE 2 !

---

moyennant un peu de patience avant le remboursement :

VOUS POUVEZ DONC MULTIPLIER VOTRE DON PAR 3

---

Un seul lien pour donner en ligne :

HTTPS://SOUSCRIPTION.NPA2009.ORG

---

Une seule adresse pour envoyer vos chèques :

NPA SOUSCRIPTION – 2 RUE RICHARD LENOIR – 93100 MONTREUIL

---

Un seul ordre pour vos chèques :

NPA SOUSCRIPTION

---

Une seule limite de datation et d'envoi :

AVANT LE 31 DÉCEMBRE À MINUIT

---

si votre adresse n'est pas celle mentionnée sur le chèque :

PRÉCISEZ-LE POUR QUE LE REÇU FISCAL ARRIVE A BON PORT

---

si deux noms apparaissent sur le chèque :

PRÉCISEZ A QUI IMPUTER LE DON


Deux vidéos


Vidéo NPA JEUNES


 

Vidéo l’anticapitaliste


6 articles en ligne pour comprendre l’importance de participer à cette souscription et permettre au NPA de mener ses campagnes et de soutenir toutes les luttes

https://nouveaupartianticapitaliste.org/souscription

https://nouveaupartianticapitaliste.org/agir/vie-interne/il-ny-pas-dargent-magique

https://nouveaupartianticapitaliste.org/agir/strategie/sky-limit

https://lanticapitaliste.org/actualite/vie-interne/souscription-2020-la-course-aux-armements-financiers

https://lanticapitaliste.org/actualite/vie-interne/souscription-2020-le-financement-de-la-politique-en-france

https://nouveaupartianticapitaliste.org/agir/politique/souscription-2020-vos-dons-sont-vitaux-pour-le-npa



 

 


samedi 26 décembre 2020

2020, LE CAPITALISME EN FAILLITE… EN 2021, CHANGEONS TOUT !

 

L’année qui se termine a montré que le capitalisme était incapable de répondre à la pandémie. Dans une majorité de pays, et la France n’échappe pas à la règle, les gouvernements capitalistes ont privilégié les grandes entreprises aux populations, et les politiques liberticides aux investissements massifs dans la santé publique...

Un système contradictoire avec la santé

de toutes et tous

Face à la propagation du virus, c’est la concurrence entre capitalistes qui a dominé, par exemple concernant la production et l’approvisionnement des masques.

Ils ont été incapables de planifier la production, de mettre sous contrôle le secteur privé pour répondre dans l’urgence aux besoins sanitaires.

C’est la même chose pour les tests : le monopole des laboratoires privés a freiné pendant des mois le dépistage à grande échelle alors que le secteur public de recherche ainsi que les labos vétérinaires auraient pu contribuer massivement aux tests dès le printemps.

En ce qui concerne le vaccin, la recherche a été confiée à des centaines de labos privés qui se font concurrence entre eux à travers la planète, chacun voulant annoncer en premier avoir « trouvé » le bon vaccin pour engranger des profits colossaux. Tout cela s’est fait au détriment du respect des protocoles en accélérant les différentes phases de tests. De plus, les vaccins étant brevetés, la transparence sur les résultats n’est pas au rendez-vous, ce qui nourrit la défiance des populations face aux futurs vaccins.

La matraque ou la sécurité sociale ?

En 2020, les capitalistes ont fait des choix. Ainsi Macron et son gouvernement ont refusé d’investir massivement dans la santé et l’hôpital public, alors que nous savons que le nombre de lits et de personnels à l’hôpital est crucial face à l’épidémie, notamment pour ne pas stopper l’ensemble des autres soins durant les pics d’hospitalisations.

Le « Ségur » de la santé a été une mascarade.

Tout cela a eu pour conséquences de nous faire enchaîner les phases de confinement, qui vont probablement durer jusqu’à l’automne 2021. Ce refus d’investir est idéologique : ils ne veulent plus du service public et de la sécu, et ont donc continué à casser l’hôpital malgré la pandémie.

Dans le même temps, le pouvoir a accéléré le tournant autoritaire et raciste de l’État pour contrôler la population et faire rentrer dans le rang les récalcitrant.e.s : loi sécurité globale, loi « séparatisme », décrets liberticides et confinement autoritaire ont été les principales réponses du gouvernement face à la pandémie.

Nos vies valent plus que leurs profits !

En cette fin d’année, la dette publique en France avoisine les 125 % du PIB. Cette dette, les capitalistes vont vouloir nous la faire payer. Licenciements, réorganisation de la production, casse des services publics, voilà leurs mauvaises résolutions pour 2021 !

Ces dernières semaines, les mobilisations contre les lois liberticides nous ont redonné de l’espoir. Elles montrent le chemin pour les travailleurs/ses et la jeunesse dans les semaines qui viennent : celui des luttes, dans la rue et par la grève, pour imposer une toute autre politique.

Il faut en finir avec le pouvoir des capitalistes de détruire nos vies, en reprenant le contrôle sur l’économie et en brisant la machine répressive.

Que 2021 marque la fin du virus capitaliste !



mardi 22 décembre 2020

SOUSCRIPTION NPA 2020 : THE SKY IS THE LIMIT !

 

Si l'on en croit Libération, la séquence électorale 2020 aux USA a vu 13,3Md$ partir en fumée pour la présidentielle (primaires comprises) et les élections au Congrès. Ce total s'élevait à 6,8Md$ en 2016 (+100%) et à 4,7Md$ en 2000 (+180%). Les démocrates ont flambé 8,4Md$ contre 3,4Md$ en 2016 (+150%), et 2Md$ en 2000 (+320%). Les républicains ont claqué 4,8Md$ contre 3,3Md$ en 2016 (+45%), et 2,5Md$ en 2000 (+90%).

Sans surprise, le poids des milliardaires dans le processus s'est lui aussi alourdi. D'abord sous la forme d'auto-financement. Les « démocrates » BLOOMBERG et STELTER ont  dépensé 1Md$ et 300M$ de leur fortune pour leurs candidatures respectives à la primaire. Ensuite en tant que donateurs. Les 100 plus gros donateurs de cette séquence électorale ont dépensé 1,3Md$. Mieux, le plus gros donateur républicain à versé 180M$ à lui seul, talonné par le champion des démocrates avec 110M$. Finalement, comme le note avec ironie un professeur de droit de l'université de Columbia cité par les Echos : « Les critiques des inégalités américaines parlent souvent des « 1% » de la population, mais en ce qui concerne le financement des campagnes, ce sont les 0,0001% qui comptent ».

On se consolera (ou pas) en notant que plusieurs dizaines de millions de personnes ont versé des dons inférieurs à 200$, pour un total de 3Md$ sur 13Md$ (soit 22% contre 15% en 2016).

Sans surprise, Les 2/3 de ces petites contributions ont été levées par les démocrates, et en particulier leurs candidats les plus radicaux, Bernie SANDERS en tête, pour qui le refus des dons d'entreprises et de milliardaires constituait un positionnement politique de fond.

L'inflation déjà ancienne et continue des budgets électoraux américains a connu une récente et puissante accélération en 2008 quand OBAMA décida, démarche inédite, de se passer de tout financement publique et donc de s'affranchir d'une réglementation encore (un peu) contraignante. Un arrêt historique de la Cour Suprême daté de 2010 fit sauter les derniers verrous en levant les dernières limites encore existantes sur le financement privé.

Désormais, the sky is the limit !

En comparaison, quoique l'on pense du système de financement électoral en France, la dernière élection présidentielle de 2017 a vu 11 candidats dépenser... 60M€. Et s'il l'on resserre encore la focale sur une petite organisation anticapitaliste nommée NPA, il faut savoir que le budget de campagne de Philippe POUTOU s'est élevé pour l'occasion à 780.000€. Certes, ce montant a été remboursé par l'Etat. Mais il a fallu avancer des fonds avant que l'obtention des fameux « parrainages » ne débloque une prêt bancaire. Autrement dit, il existe aussi un ticket d'entrée financier à l'élection présidentielle.

Comme nous le répétons sans jamais faiblir, les finances du NPA sont structurellement précaires et notre campagne de souscription annuelle a pour but immédiat de permettre le  bouclage de notre budget courant.

Elle est donc vitale !

Mais à l'image d'une fusée dont les étages se détachent successivement, la réussite de cette campagne permet, à partir d'un certains palier, d'envisager certaines échéances exceptionnelles !

FAIRE UN DON EN LIGNE


https://souscription.npa2009.org


INFOS PRATIQUES

La souscription permet une déduction fiscale

des deux tiers du montant versé :
VOUS DONNEZ 3€, LE PARTI EN RECOIT 3, L'ÉTAT VOUS EN REVERSE 2 !
---
moyennant un peu de patience avant le remboursement :
VOUS POUVEZ DONC MULTIPLIER VOTRE DON PAR 3
---
Un seul lien pour donner en ligne :
HTTPS://SOUSCRIPTION.NPA2009.ORG
---
Une seule adresse pour envoyer vos chèques :
NPA SOUSCRIPTION – 2 RUE RICHARD LENOIR – 93100 MONTREUIL
---
Un seul ordre pour vos chèques :
NPA SOUSCRIPTION
---
Une seule limite de datation et d'envoi :
AVANT LE 31
DÉCEMBRE A MINUIT
---
si votre adresse n'est pas celle mentionnée sur le chèque :
PRÉCISEZ-LE POUR QUE LE REÇU FISCAL

ARRIVE A BON PORT
---
si deux noms apparaissent sur le chèque :
PRÉCISEZ À QUI IMPUTER LE DON

 









mardi 15 décembre 2020

CLIMAT : UN REFERENDUM POUR QUE RIEN NE CHANGE !

 

Communiqué du NPA du 15 septembre 2020


 

On s’en doutait déjà :

Macron se moque

de nous et du climat.

Après des mois de dépeçage des propositions faites par la Convention citoyenne pour le Climat, Macron nous fait le bon vieux coup du référendum.

Il n’y avait déjà plus personne pour croire qu’il reprendrait « sans filtre » les 149 propositions.

Dès juin, il avait exclu la taxe de 4 % sur les dividendes pour les entreprises qui en versent plus de 10 millions par an, la limitation de la vitesse à 110 km/h sur autoroute... Puis ce fut le tour du moratoire sur la 5G, de la limitation de la publicité pour les SUV et autres monstres hyper-polluants.

Exit aussi la taxe sur les engrais azotés pourtant responsables des émissions de Nox, un gaz à effet de serre beaucoup plus puissant que le CO2, l’obligation de rénovation thermique des logements…

Bref, les travaux de la Convention sont totalement vidés de toutes les mesures qui auraient risqué de s’en prendre un tant soit peu aux intérêts de l’industrie chimique, automobile, publicitaire...

Et pendant ce temps, Macron ne manque pas une occasion d’utiliser le climat pour vanter de manière mensongère le nucléaire !

On pourrait même éclater de rire quand Macron dit « vouloir éviter les mesures coercitives » ou déclare « Je pense parfois qu’un interdit n’est pas la meilleure des choses »... en plein débat parlementaire sur les pires lois liberticides ! Mais la situation est dramatique, et le bouleversement climatique est à l’œuvre. Ainsi l’année 2020 sera parmi les trois années les plus chaudes jamais mesurées. Les catastrophes, dont les phénomènes météorologiques extrêmes liés au changement climatique sont le principal moteur, ont doublé en vingt ans, tuant plus de 1,2 million de personnes dans le monde depuis 2000.

Il est de plus en plus certain que le seuil de 1,5 °C d’augmentation de la température sera franchi dans les années 2030…

L’inaction climatique depuis cinq ans saute aux yeux : même le Conseil d’État est obligé de donner raison à la ville de Grande-Synthe et à la campagne « L’Affaire du Siècle » contre l’État !

Aussi, un référendum pour inscrire la défense du climat et la préservation de l’environnement dans la Constitution apparaît pour ce qu’il est : une petite manœuvre politicienne minable, d’autant plus misérable qu’elle concerne la menace la plus grave et la plus globale à laquelle l’humanité est confrontée.



vendredi 11 décembre 2020

VGE, LA GAUCHE INSTITUTIONNELLE ET NOUS .

 

Affiches de campagne d'Alain Krivine appelant à battre Valéry Giscard d'Estaing aux élections présidentielles de

Valéry Giscard d'Estaing, décédé le 2 décembre, fut président de la république de 1974 à 1981, mais, il fut également maire de Chamalières de 1967 à 1974, président du conseil régional d'Auvergne de 1986 à 2004 et député du Puy-de-Dôme pendant 20 ans entre 1956 et 2002.

Un enfant du pays, comme on dit.

Rien d'étonnant donc à ce que la presse se fasse l'écho de nos élus locaux suite à ce décès, y compris des élus de gauche.

On pourrait en revanche s'étonner un peu plus de quelle fut la réaction de ces élus de gauche. On ne sera pas surpris de ne pas les voir souligner que ce fut le ministre de l'économie et des finances qui a impulsé l'adaptation de la France à la phase néo-libérale du capitalisme (par exemple en adoptant la Loi 73-7 qui interdisait notamment à l’État d'emprunter gratuitement à la banque de France, véritable cadeau au secteur bancaire privé) puisque ce tournant de la dérégulation, c'est justement la gauche au pouvoir qui va l'accomplir pleinement dès 1981.

On aurait au moins pu espérer qu'ils rappellent que VGE a accompagné la destruction du secteur industriel sidérurgique dont des régions entières ne se sont jamais relevées, qu'il fut un artisan acharné de la Françafrique (dont l'affaire des diamants de Bokassa n'est qu'un symbole), que de 1978 à 1981 Maurice Papon (celui qui fut ultérieurement condamné pour complicité de crime contre l'humanité pour son rôle dans la déportation des juifs pendant l'occupation, celui aussi du massacre des algériens du 17 octobre 1961) fut son ministre du budget, ou encore que le président Giscard fit mettre les drapeaux en berne pour lui rendre hommage lors des obsèques du dictateur Franco.

Bref, on aurait pu attendre qu'ils rappellent à quel point VGE, à qui les éditorialistes aiment comparer notre actuel président en exercice, était l'ennemi des travailleurs/ses et de la démocratie.

Mais non, comme le reprend la presse1, ces messieurs Chassaigne et Bianchi préfèrent lui rendre hommage, saluer son souvenir et partager des anecdotes vécues en commun avec celui qui, bien que nommé immortel en 2004, a fini par (dé)céder.

Ces réactions sont elles mêmes de l'ordre de l'anecdotique en ceci qu'elles ne changent rien au quotidien des opprimé·e·s, mais elles sont cependant révélatrices du fait que ces politiciens professionnels appartiennent au même monde et partagent le même entre-soi, bien éloignés des opprimé·e·s que la gauche est pourtant censée représenter. Encore un argument de plus en faveur du changement radical de société que défend le NPA qui souhaite en finir avec la professionnalisation de la politique, avec ces élus totalement déconnectés de notre vécu, construire une société où l'exercice du pouvoir serait collectif, ou nous nous représenterions nous-même.

1 https://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/clermont-ferrand_63113/clermont-ferrand-les-elus-de-gauche-rendent-un-hommage-unanime-a-valery-giscard-d-estaing_37874983.html

1

mardi 8 décembre 2020

NON AUX LICENCIEMENTS À AUBERT & DUVAL ET INTERFORGE, SOLIDAIRE DE LA LUTTE DES OUVRIER.E.S

 

Le confinement mis en place par le gouvernement pour enrayer la pandémie du COVID 19, n’empêche pas le patronat de passer à l’offensive malgré la crise sanitaire , les financiers en profitent pour licencier à tour de bras.

462 emplois vont être supprimés au niveau national par les direction d’Aubert & Duval et d’interforge dont 237 dans le Puy de Dôme(144 aux Ancizes, 25 à la Pardieu Clermont, 68 à Issoire).

Le NPA apporte son soutien à la grève et aux mobilisations du 9 décembre qui ont lieu à Issoire et aux Ancizes pour lutter contre ces licenciements qui auront des conséquences assassines sur les travailleurs/ses et leur région .

Sur ISSOIRE

RASSEMBLEMENT

MERCREDI 9 DÉCEMBRE

DE 10H à 15H00

À L’USINE (SUR LE PONT)

Pour soutenir les luttes de la classe ouvrière

et apporter une réponse politique contre le capitalisme,

pour un partage des richesses

et construire une nouvelle société ,

rejoignez le NPA véritable force anticapitaliste.

 



lundi 7 décembre 2020

JEUNES, NE VOUS LAISSEZ PAS RÉDUIRE AU SILENCE ! NON AU SNU! NE LAISSEZ PAS LES AUTRES DÉCIDÉS DE VOTRE AVENIR !

 

Non au SNU!

Depuis 2019, le gouvernement expérimente le Service National Universel, un service militaire déguisé à destination des 15-17 ans, à vocation obligatoire.

Il s'agit d'une opération de renforcement de la militarisation et de soumission de la jeunesse, en inculquant un esprit d'obéissance aux règles et de respect absolu de normes ne visant qu'à perpétuer les inégalités et les injustices inhérentes à la société patriarcale et raciste dans laquelle nous vivons.

Le coût est exorbitant (30 millions d'euros en 2020, le double en 2021... 30 milliards d'euros pour les cinq premières années s'il devient obligatoire!) alors que les hôpitaux, les EHPAD sont à l'agonie, que les écoles, collèges, lycées, universités... et associations manquent toujours de moyens.

Aucun.e lycéen.ne, parent d'élève ou instance élue par elles et eux n'a été consultée : c'est antidémocratique !

Les associations d'éducation populaire faussement associées au dispositif subissent un chantage aux subventions.

Les services Jeunesse et Sports se perdent dans la mise en oeuvre de ce dispositif vain plutôt qu'accompagner les personnes et les associations dans leurs projets.

L'armée elle-même ne revendique aucun engagement éducatif dans ce dispositif.

PERSONNE n'en veut !

et pourtant le gouvernement s'entête et mobilise des crédits et des personnels pour un dispositif voué à l'échec.

Les jeunes sont déjà engagé.e.s !

Mais ce gouvernement souhaite des citoyens sages et déploie une répression systématique face à leurs mobilisations.

Or, dans une société démocratique, être citoyen.ne ne peut pas se résumer à payer des impôts, à aller voter : il est nécessaire de prendre sa place, de se battre pour construire une société de son choix.

Soutenons les expressions et les actions menées par les jeunes, dénonçons les violences qui leur sont infligées et refusons leur mise au pas !

Mettons un coup d'arrêt aux politiques militaristes et coercitives du gouvernement en direction des jeunes !

Exigeons :

· l'abrogation immédiate du SNU !

· des budgets et politiques publiques au bénéfice réel des jeunes, des associations et des services publics contribuant à l'émancipation de tou.te.s !

Citoyen.ne.s, parents, salarié.e.s et bénévoles d’associations, syndicalistes, agent.e.s des services publics… de tous âges, REJOIGNEZ le collectif CONTRE LE SNU, pour des politiques émancipatrices et co-construites.


Collectif NON AU SNU Auvergne : La Libre Pensée du Puy-de-Dôme, Solidaires Auvergne, Solidaires Jeunesse et Sports, Sud Education Clermont, CREFAD Auvergne, UNEF Auvergne , NPA...

Pour contacter le collectif : nonausnuauvergne@lists.riseup.net

Tract unitaire contre le SNU

 

vendredi 4 décembre 2020

LOIS LIBERTICIDES ET VIOLENCES POLICIÈRES : COMBATTONS L’AUTORITARISME EN MARCHE !

 

Liste des manifestations du 5 décembre 2020 contre la Loi Sécurité Globale en Auvergne.

Du dégoût et de la révolte, voilà ce que nous avons toutes et tous ressenti devant les violences policières de ces dernières semaines. Les dernières images des exactions contre les migrant.e.s place de la République à Paris ou du tabassage du producteur de musique noir Michel Zecler, ont mis le feu au poudre, entraînant en particulier une large mobilisation samedi dernier dans tout le pays.

Le maintien de leur ordre à tout prix

Ce gouvernement veut accompagner la crise sociale, les nouveaux reculs qu’il veut nous faire avaler, les licenciements et les suppressions d’emploi, d’un ordre sécuritaire garantissant la bonne marche de la machine capitaliste à profits… Il entend faire taire toute contestation de sa politique, y compris en s’attaquant à la liberté de la presse, dont il aime pourtant se draper en période d’offensive islamophobe.

Depuis plusieurs semaines, sous la pression de l’extrême droite et des syndicats de police, Macron, Darmanin et leurs amis sont à l’offensive.

D’abord avec la Loi de programmation de la recherche (LPR) et son article visant à pénaliser toute action revendicative dans les universités.

Puis, à la faveur de l’immense émotion suite à l’horrible assassinat de Samuel Paty, avec une nouvelle loi raciste et islamophobe contre le « séparatisme ».

Enfin, ils ont dégainé cette loi de « sécurité globale ».

Tout cela dans le but d’accoucher d’une société basée sur une économie ultralibérale accompagnée d’un contrôle social sécuritaire.

La loi, Darmanin, Lallement…

Et hop tout ça à la poubelle !

Mais après le mouvement international suite à la mort de George Floyd aux USA, les grandes mobilisations ici avant l’été contre l’impunité policière, ça ne passe pas ! Répondant à l’appel des journalistes, d’associations démocratiques ou de médias alternatifs, la mobilisation s’est amplifiée jusqu’à atteindre des centaines de milliers de personnes dans près d’une centaine de villes samedi dernier.(plus de 1500 personnes à Clermont-Ferrand). Des manifestations massives, unitaires, jeunes, réunissant journalistes, habitant.e.s des quartiers populaires, militant.e.s syndicaux ou politiques...

Au-delà de la loi de « sécurité globale », c’est bien un renforcement de l’État policier qui est massivement rejeté, et la politique de Macron — autoritaire sur sa forme et injuste sur son fond — qui est combattue.

Pour éteindre l’incendie, les représentants de la majorité annoncent une « réécriture » du seul article 24 de la loi, celui concernant la diffusion d’image des policiers (sans préciser d’ailleurs ce qu’ils souhaitent mettre à la place...). On est bien loin du compte : c’est toute la loi qui doit être abandonnée, et au vu de leurs responsabilités particulières dans la situation, le ministre de l'Intérieur Darmanin et le préfet Lallement doivent dégager aussi ! 

Étendre la lutte, construire les convergences

Pour transformer l’essai, la mobilisation doit continuer, et une nouvelle journée de manifestation est annoncée pour ce samedi.

En Auvergne, plusieurs mobilisations sont prévues

à Aurillac, à 10H30 Place des droits de l’Homme

au Puy en Velay , à 10H30 Place de la Cadelade

à Montluçon , à 11H Place Piquand

à vichy, à 11h Place de la poste

à Moulins, à 11h devant la préfecture

à Clermont-Ferrand , à 15H Place de Jaude

Pour s’étendre, il faut s’adresser aux autres secteurs qui se sont mobilisés ces dernières années, se confrontant à la violence d’État : les Gilets jaunes, la jeunesse des quartiers populaires, le mouvement social…

Des ponts sont à construire, en particulier entre le rejet de cette loi de sécurité globale et le projet de loi « confortant les principes républicains » (ex-loi « séparatisme ») qui reprend d’ailleurs les principales dispositions de l’article 24.

Dans la catastrophe sociale qui vient, les capitalistes vont vouloir nous faire payer la crise au prix cher, et pour cela, le maintien de leur ordre est essentiel. Déjà les licenciements pleuvent, la précarité explose, et ce n’est qu’un début.

Les convergences à construire doivent donc commencer dès ce samedi 5 décembre, en étant dans la rue contre la loi de sécurité globale et au côté des associations de chômeurs/ses et précaires qui vont aussi manifester dans tout le pays.

À Clermont-Ferrand , un rassemblement

aura lieu le 5 décembre à 14H Place de Jaude

Ce n’est qu’un début…

APPEL UNITAIRE DES FORCES POLITIQUES AUX MANIFESTATIONS DU 5 DÉCEMBRE CONTRE LE CHÔMAGE ET LA PRÉCARITÉ

 

Rassemblement unitaire contre les licenciements, la précarité et le chômage le 5 décembre 2020 à Clermont-Ferrand.

Aux côtés des syndicats et associations de chômeurs, nos organisations politiques appellent aux manifestations du 5 décembre 2020, en défense de l’emploi, contre les licenciements, et pour les droits des chômeurs-chômeuses et précaires.

Le Conseil d’État lui-même l’a remise en cause : la réforme Macron de l’allocation-chômage doit être définitivement abandonnée !

Le gouvernement voulait économiser 3,7 milliards sur le dos des privés d’emplois. Selon l’UNEDIC, 40% des demandeurs d’emploi indemnisés perdraient des droits, soit plus d’un million de personnes. Ce projet doit être définitivement enterré.

Impossible de vivre en-dessous du seuil de pauvreté !

9,6 millions de personnes vivent au-dessous du seuil de pauvreté (1060 euros/mois), et près d’un million de personnes supplémentaires vont les rejoindre selon les associations.

Beaucoup de personnes inscrites à Pôle emploi se débrouillent avec des « petits boulots » de quelques heures ou survivent avec le RSA (565 euros). Et les moins de 25 ans n’ont pas droit au RSA. Avec la crise sanitaire actuelle, des centaines de milliers de personnes se sont brutalement retrouvées sans revenu, pas même le chômage partiel.

L’allocation de chômage est un droit très peu respecté. Sur plus de 6,3 millions de personnes à Pôle emploi, seules 2,6 millions sont indemnisées, soit 41% (chiffres de l’UNEDIC en 2018).

Des millions de salarié-e-s sont en chômage partiel à 84% du salaire, alors que les grandes entreprises sont dédommagées à 100% (au frais de l’UNEDIC et des contribuables). Et tous les jours, de nouveaux plans de licenciements plongent les salariés-es dans l’angoisse et la misère, alors même que les actionnaires continuent à l’enrichir.

Moins de 1% des 100 milliards du plan de relance sont destinés aux plus précaires. Le gouvernement n’a demandé aucune contrepartie sociale et écologique aux grandes entreprises qui ont touché des milliards d’argent public. Mais les mêmes tiennent des discours sur les contreparties à demander aux chômeurs et précaires en échange de leurs droits !

Pour un bouclier social !

Il n’y a aucune fatalité. Alors que des fortunes s’accumulent de façon indécente, il est nécessaire de défendre de nouveaux acquis pour le monde du travail, pour la grande majorité de la population :

* Abandon de la loi retraite ;

* Moratoire sur les plans de licenciements et les suppressions de postes dans la fonction publique ;

* Titularisation des contractuel.les et plan d’embauche pour la santé, l’éducation, l’inspection du travail... ;

* Garantie générale des revenus et des salaires (payés à 100%) grâce à une Sécurité sociale vraiment universelle incluant les chômeurs-euses ; revenu minimum garanti à hauteur du seuil de pauvreté ; droit au RSA pour les 18-25 ans.

* Hausse du SMIC à 1800 euros bruts ; augmentation des salaires de 300 euros dans l’hôpital, les écoles, et pour les « premiers de corvée » ;

* Instauration d’une taxe pour les profiteurs de crise ;

* Mise en place des 35h réelles, poursuite de la réduction du temps de travail avec maintien du salaire, embauches et formation ;

* Égalité salariale femmes/hommes immédiate.

Solidaires des mobilisations dans les différentes entreprises touchées par les suppressions d’emploi, nous encourageons toutes les tentatives pour coordonner ces résistances.

Le samedi 5 décembre 2020, nous serons dans la rue aux côtés des travailleur-euses et privé-es d’emploi !

Cette date peut être une première étape pour porter ensemble nos exigences.

Signataires : Ensemble! / GDS / Génération.s / La France insoumise / NPA / PEPS

À Clermont-Ferrand, le NPA appelle à participer aux rassemblement initié par la CGT , le samedi 5 décembre à 14H00 Place de Jaude

jeudi 3 décembre 2020

TOUTES ET TOUS ENSEMBLE CONTRE LES RÉGRESSIONS SOCIALES ET LA DESTRUCTION DES LIBERTÉS

 

Manifestation unitaire contre la Loi Sécurité Globale, les régressions sociales et la destruction des libertés à Clermont-Ferrand.

Deuxième vague de la pandémie, deuxième période de confinement, le monde du travail est encore aux avant-postes. En mars le président Macron annonçait une stratégie: «tester, tracer, isoler».

Qu’en est-il aujourd’hui?

Le premier terme reste encore une promesse.

À l’hôpital, un·e agent·e dépisté·e positif·ve au Covid 19 mais asymptomatique est tenu·e de venir travailler!

Pas de respect de l’isolement pourtant imposé à l’ensemble de la population.

La cacophonie succède aux déclarations contradictoires. Même le gouvernement semble désormais inutile quand le pays est gouverné par un conseil de défense.

Tout cela au risque de favoriser la contestation en tous sens, même parfois des simples mesures de bon sens.

FIN DU MONDE FIN DU MOIS

MÊME COMBAT

CACOPHONIE GOUVERNEMENTALE

ET ACCÉLÉRATION DES MESURES ANTI-SOCIALES.

Aucune mesure budgétaire véritable n’est à la hauteur de la situation.

Aucun plan d’urgence pour la santé, les suppressions de lits continuent.

Aucun plan d’urgence dans l’éducation nationale où la fermeture des établissements pendant près de trois mois met aujourd’hui en évidence des difficultés scolaires accrues pour nombre d’enfants des quartiers populaires.

Le ministre Blanquer prévoit encore des suppressions de postes dans les collèges et les lycées et son «école de la confiance» se traduit par une multiplication jamais vue des instances disciplinaires contre les personnels. Il en va de même pour les inspecteurs·trices du travail qui, sous la menace de sanctions, sont sommé·e·s de regarder ailleurs quand les droits des salarié·e·s volent en éclats.

Dans une période où la solidarité devrait primer, aucun plan d’urgence pour les services publics, pas même pour donner à tou·te·s un toit et se protéger de la pandémie.

Idem pour des familles sans-papiers dont les enfants sont baladé·e·s d’une école à une autre sans souci de la pandémie.

Les politiques de déréglementation sont à l’œuvre et aucune grande mesure sociale n’est envisagée pour éviter que des milliers de nos concitoyen·ne·s ne fassent faillite, perdent leur emploi, tombent dans la pauvreté. Cette pandémie nous prive de vie sociale mais pour les actionnaires rien ne change, pour les capitalistes et les banques rien ne bouge.

En 2019, plus de 2 millions de travailleur·euse·s pauvres, 9 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté dont 21% de jeunes; 6 millions de chômeur·euse·s mais, 49.2 milliards d’euros de dividendes versés aux actionnaires.

Pour 2020 rien de changé pour les actionnaires mais la fin de l’année verra le nombre de personnes sous le seuil de pauvreté augmenter de pratiquement un million, des centaines de milliers de salarié·e·s auront perdu leur emploi.

Sans aucune concertation ni recherche de solutions alternatives, la fermeture des lieux de culture, des commerces de proximité, le boulevard offert aux multinationales de la vente en ligne sont inacceptables. Quant au Medef, il ne renonce jamais à l’idée d’allonger le temps de travail et de rendre tout cela bien plus flexible et incertain.

Le recours au télétravail est de plus en plus imposé sans aucun cadrage. Au-delà des difficultés de vie qu’impose la pandémie, c’est bien l’idée que ce sont toujours les mêmes qui doivent payer qui est insupportable.

Ce gouvernement ne résout aucun problème de la vie quotidienne des gens dans la période la plus difficile qui soit.

Pour la santé ou l’éducation, il est urgent de réinventer un système public pour satisfaire les besoins de la population et faire vivre l’égalité des droits.

Il est primordial de réduire les inégalités d’accès à la santé sur l’ensemble du territoire, des zones rurales aux banlieues.

Ce pays n’a jamais eu autant d’argent, il n’a jamais eu autant besoin de services publics, de biens communs qui favorisent la solidarité et l’égalité, à l’inverse des choix de cette République prétendument en marche de Macron et des siens.

LA QUESTION CLIMATIQUE

EST DEVENUE CENTRALE.

Nos dirigeants se montrent incapables de conduire la nécessaire transition écologique.

Le Conseil d’État,la plus haute juridiction administrative de la république vient de mettre en lumière l’inaction de l’État face à ses obligations en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

C’est un véritable procès en carence climatique contre la France. Malgré cela, les dogmes de ceux qui nous gouvernent demeurent : austérité salariale, marchandisation de nos vies,croissance infinie comme ligne d’horizon.

FAIRE TAIRE

TOUTE CONTESTATION

PAR DES LOIS

ET DES MESURES LIBERTICIDES

Ce gouvernement utilise la crise pour accélérer ses projets de démantèlements mais profite aussi lâchement de cette période pour entraver toute contestation de sa politique.

Depuis 25 ans, les gouvernements qui cassent les biens communs(services publics, conventions collectives, droits du travail...) multiplient tous les entraves à la contestation que leurs décisions provoquent. Et lorsque tous ces libéraux voient dans cette pandémie et le confinement qu’elle oblige, l’opportunité d’accélérer la casse libérale de toutes les positions acquises par des décennies de luttes, ils accélèrent également les restrictions dans le domaine des libertés.

C’est dans cette logique qu’intervient la loi de «sécurité globale» qui s’ajoute à plus de trente lois répressives et de surveillance en 25 ans.

Darmanin a décidé de faire voter cette loi en procédure accélérée.

Quelle urgence, en plein confinement,

justifie cette attaque liberticide :

profiter du confinement

pour éviter les manifestations?

Interrogé à l’assemblée nationale le ministre de l’Intérieur explique qu’il s’agit de défendre la police face au terrorisme, le tout dans un amalgame constant entre terrorisme, islamisme, islam, migration et quartiers populaires.

Cette confusion organisée est nocive pour la laïcité dont la période a le plus grand besoin. Ce projet de sécurité globale prévoit donc «un an d’emprisonnement et une amende de 45000 €» pour sanctionner la «diffusion du visage ou tout autre élément d’identification d’un·e fonctionnaire de police dans le but qu’il soit porté atteinte à son intégrité physique ou psychique» tandis que les forces de l’ordre filmeront et utiliseront la reconnaissance faciale.

Les drones surveilleront la rue et les manifestant·e·s. Une fois de plus une législation présentée comme antiterroriste viendrait introduire une nouvelle faille dans le droit commun susceptible de se retourner contre d’autres cibles.

Le procédé est ancien : quelques semaines après les attentats de 2015, l’état d’urgence était invoqué pour empêcher les militant·e·s écologistes de manifester à Paris pendant la COP21.

Dans le même esprit, un amendement à la loi de programmation de la recherche rajouté à la hâte prévoit une peine allant jusqu’à trois ans de prison pour celles et ceux qui «troublent la tranquillité» d’une université.

Là aussi fallait oser !

La priorité du gouvernement n’est pas de résoudre le problème du lien entre la police et le citoyen, mais de s’attaquer à la diffusion d’images de policiers, en condamnant journalistes et manifestant·e·s.

La vérité de ce projet de loi c’est : «cachez ces violences policières que je ne saurais voir».

Au-delà de cet autoritarisme d’état qui se manifeste dans tous les conflits sociaux, la répression contre le mouvement social et le syndicalisme s’accentue.

Les patrons privés ou publics sont à bonne école et répriment avec zèle.

DES DIZAINES DE MANIFESTATIONS

ONT DÉJÀ RASSEMBLÉ

PLUSIEURS MILLIERS DE PERSONNES

CE NOUVEAU PROJET LIBERTICIDE

DOIT ÊTRE RETIRÉ,

LES LIBERTÉS DE MANIFESTER ET D’INFORMER DOIVENT ÊTRE RÉAFFIRMÉES.

SAMEDI 5 DÉCEMBRE

15H PLACE DE JAUDE À CLERMONT-FERRAND

Affiche unitaire contre la Loi de Sécurité Globale et la casse de nos conquis sociaux.

 

Affirmons d’autres choix de solidarité pour aujourd’hui et pour demain

Retrait pur et simple du projet de loi de «sécurité globale»

Retrait de la réforme de l’assurance chômage et de la réforme des retraites par points

Retrait de la Loi de Programmation de la Recherche et de son amendement 234 liberticide

Augmentation des salaires et des minimas sociaux

Des vrais emplois pour les services publics

Des engagements politiques et budgétaires nécessaires pour la transition écologique

L’ÉGALITÉ VEUT

UNE AUTRE RÉPARTITION DES RICHESSES

Premiers signataires: SOLIDAIRES, UNEF Auvergne, Syndicat des Avocats de France, CGT Educ’Action 63,AFPS 63, MNCP-Chom’actif, Ligue des Droits de l’Homme, Libre Pensée, Justice et vérité pour Wissam, ATTAC 63,Gilets Jaunes, RESF 63, Osez le féminisme, Alternatiba-anv63, DAL 63, Planning Familial 63, Les Amis du Temps des Cerises / Organisations soutenant la mobilisation: Greenpeace, France Insoumise, NPA, PCF 63, Parti deGauche 63, Union Communiste Libertaire, UD CGT 63 

 

Tract ci-dessous :

Tract unitaire contre les régressions sociales et la destruction des libertés.