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samedi 7 mai 2022

Stop à la guerre. Solidarité avec le peuple ukrainien. Condamnation de l’agression militaire contre l’Ukraine

 

COMMUNIQUÉ DU COLLECTIF

DÉPARTEMENTAL 63 POUR LA PAIX

Stop à la guerre. Solidarité avec le peuple ukrainien.

Condamnation de l’agression militaire contre l’Ukraine,

Pour une solution négociée

Le collectif départemental du Puy de Dôme pour la paix renouvelle son appel à une mobilisation la plus large pour la paix, par la voie du dialogue et pour une solution politique négociée.

Plus que jamais l’action est nécessaire pour réaffirmer la condamnation de l’agression militaire du pouvoir russe contre l’Ukraine en violation du droit international.

Nous disons stop à la guerre, retrait des troupes russes, non à l’engrenage militaire.

Nous exigeons une solution négociée sous l’égide de l’ONU.

Le collectif départemental réaffirme sa solidarité active avec toutes les populations victimes des politiques guerrières, et avec l’ensemble des réfugié·e·s sans aucune discrimination.

Pour toutes et tous il faut ouvrir les frontières, favoriser l’accueil et apporter une véritable aide matérielle.

Dans le même temps le collectif exprime sa solidarité avec tous les peuples qui se mobilisent pour arrêter la guerre, y compris le peuple russe qui manifeste courageusement, malgré la répression contre cette guerre qui n’est pas la sienne, pour le retrait des troupes russes d’Ukraine.

Nous exprimons notre soutien au mouvement antiguerre et démocratique en Russie et la garantie du statut de réfugié·e politique aux opposant·e·s à Poutine et aux soldats russes qui désertent.

Les organisations du collectif expriment leur plus haute inquiétude quant au risque que les populations civiles ukrainiennes soient les premières victimes de cette guerre, en particulier les femmes qui se battent, distribuent l’aide humanitaire, soignent les blessés ou encore aident à l’évacuation des civils et des enfants.

Les répercussions économiques de cette invasion de l’Ukraine par Poutine sont énormes dans toute l’Europe et dans ce domaine nous voulons faire échec aux profiteurs de guerre, multinationales de l’énergie et de l’armement en particulier, qui s’enrichissent sur le dos des peuples.

Le collectif départemental réaffirme son attachement au droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Il faut appliquer boycotts et sanctions envers tous les États qui ne respectent pas le droit international.

Le Collectif départemental exige le respect du droit international et des droits humains partout dans le monde.

Le Collectif départemental 63 pour la Paix appelle à une

MARCHE POUR LA PAIX EN UKRAINE

LUNDI 9 MAI 2022 À 18H -

DÉPART PLACE DE JAUDE

Venez inscrire votre soutien en solidarité au peuple Ukrainien sur le mur d’expression

Premiers signataires : AFPS 63 - ATTAC 63 - Cimade 63 - Les Amis du Temps des Cerises 63 - Ligue des Droits de l’Homme - Collectif Nous Aussi - FSU 63 - Solidaires Auvergne – UNEF Auvergne - EELV 63 - LFI - Nouvelle Donne - NPA 63 - PCF 63, UCL Clermont-Ferrand



Pour aller plus loin :

lire les différents articles publiés par le NPA




vendredi 22 avril 2022

STOP À LA GUERRE, SOLIDARITÉ AVEC LE PEUPLE UKRAINIEN, CONDAMNATION DE L’AGRESSION MILITAIRE CONTRE L’UKRAINE

 

Résolution adoptée par le Conseil politique national

du Nouveau Parti anticapitaliste

réuni les 16 et 17 avril 2022.

Depuis le 24 février et le début de l’invasion de l’Ukraine par l’armée de Poutine, le NPA a exprimé dans tout son matériel, sur ses sites, dans les interventions de Philippe Poutou et Olivier Besancenot dans les médias, le refus de cette guerre impérialiste portée par une idéologie grand-russe, autocratique, d’extrême droite, qui s’est affirmée de plus en plus au fil des années.

Au côté du peuple ukrainien

Nous n’exonérons pas les impérialismes occidentaux de leurs responsabilités avec leurs logiques ultralibérales et de relance du militarisme.

Mais c’est Poutine qui est l’organisateur de la guerre actuelle, qui bombarde, massacre et affame les civils, et nous affirmons que nous sommes au côté du peuple ukrainien dans sa résistance armée et non armée contre cette invasion meurtrière, contre l’oppression féroce et les destructions massives de la société ukrainienne qu’elle porte, pour le retrait des troupes russes de toute l’Ukraine, pour le maintien de l’autodétermination du peuple ukrainien dans toutes ses composantes qui ne peut s’exercer qu’hors de la pression militaire.

Nous sommes également aux côtés du mouvement antiguerre et anti-impérialiste russe. Nous devons continuer à développer cette orientation, en la concrétisant le plus possible en termes de solidarité internationale indépendante de tout gouvernement.

Alors que l’intensité de cette guerre se renouvelle, cela signifie nous associer aux appels unitaires internationalistes, même modestes qui rejoignent notre orientation, comme ceux du Réseau européen de solidarité avec l’Ukraine, ou comme le Manifeste international contre la guerre signé par des organisations anticapitalistes de pays de l’Otan, d’Ukraine et de Russie. En revanche, nous ne pouvons pas nous retrouver dans des appels qui mettent en premier la lutte contre l’intervention militaire impérialiste de l’Otan et de ses puissances, appels qui refusent aussi que la résistance ukrainienne obtienne les armes lui permettant de se défendre. Alors que les puissances occidentales réfutent une intervention militaire directe, ces appels ne peuvent être compris que comme le fait d’appeler à la défaite militaire d’un peuple ukrainien pourtant mobilisé dans toute sa diversité dans la résistance à l’invasion de l’État de Poutine.

Ce que nous défendons

Plus concrètement, nous soutenons l’envoi de convois du mouvement ouvrier et démocratique pour apporter de l’aide humanitaire, médicale et de protection des populations civiles, l’envoi de délégations de nos organisations pour établir des liens directs avec les structures comparables en Ukraine et parmi les millions de réfugié.e.s de cette guerre dans les pays limitrophes.

Nous défendons l’accueil sans discrimination de toutes et tous les réfugié.e.s – d’Ukraine, quelles que soient leurs origines, et d’ailleurs.

Nous devons soutenir les organisations anticapitalistes ukrainiennes qui se battent contre l’invasion impérialiste russe sans cesser de lutter contre les mesures réactionnaires et capitalistes du gouvernement ukrainien. Nous soutenons le mouvement antiguerre et démocratique en Russie et défendons la garantie du statut de réfugié.e politique aux opposant.es russes à Poutine et aux soldats russes qui désertent.

Nous exigeons l’annulation de la dette extérieure de l’Ukraine qui est issue des programmes néo-libéraux imposés.

Nous exigeons la saisie conséquente des biens des membres du gouvernement, des hauts fonctionnaires et des oligarques russes en Europe et dans le monde ; et parce que nous n’avons aucune confiance dans notre gouvernement, nous réclamons le plus large débat public pour obtenir l’efficacité de sanctions financières et économiques les plus larges en vue d’affaiblir le gouvernement russe et de renforcer l’opposition à celui-ci en Russie – ce qui signifie limiter les effets de telles sanctions sur les travailleurs, travailleuses et populations défavorisées en Russie et dans le monde.

Nous défendons plus que jamais un désarmement nucléaire global, la dissolution des blocs militaires Otan et OSTC, ainsi que le refus de la militarisation des esprits.

Dans l’immédiat, nous tentons d’assurer le succès des manifestations et rassemblements du 23 avril en solidarité avec le peuple ukrainien, et nous nous efforçons d’associer le NPA à l’organisation de réunions publiques unitaires du mouvement ouvrier et démocratique sur cet axe.

À Clermont-Ferrand,

dans le cadre du collectif pour la paix en Ukraine 63

un RASSEMBLEMENT- CONFÉRENCE DE PRESSE

aura lieu SAMEDI 23 AVRIL

à 11H devant la préfecture

UNE MANIFESTATION

LE LUNDI 9 MAI

à 18H00 place de Jaude

vendredi 25 février 2022

À BAS LES GUERRES IMPÉRIALISTES ! SOLIDARITÉ AVEC LES POPULATIONS UKRAINIENNES CONTRE L’AGRESSION MILITAIRE DE POUTINE !

 

Dans la nuit de mercredi à jeudi, Poutine a annoncé le lancement d’une « opération militaire » en Ukraine.

Celle-ci est partie des forces armées terrestres ou maritimes stationnées dans les trois zones frontalières de l’Ukraine. L’objectif de cette guerre, puisqu’il faut bien la nommer ainsi, serait selon Poutine la « démilitarisation » et la « dénazification » de l’Ukraine — non sans en avoir dépecé et annexé des territoires dont on ne sait pas, à ce jour, jusqu’où ils s’étendront.

En réalité, cette aventure militaire est celle d’une puissance impériale qui cherche à répondre à deux objectifs : contre l’autodétermination de l’ensemble des populations ukrainiennes et contre la volonté d’extension de l’OTAN dirigée par les USA.

Comme toujours, ce sont les peuples

qui payent le prix des guerres

Depuis plusieurs jours, la situation s’était tendue et radicalisée, les provocations répondant aux surenchères, jusqu’à la guerre que nous connaissons depuis quelques heures. Il y a tout d’abord eu l’envoi d’une pseudo « force de paix » au sein des territoires préalablement reconnus comme indépendants des républiques fantoches de Louhansk et Donetz (sur un tiers du Donbass), ce qui a de fait mis fin à toute politique d’actualisation des accords de Minsk et, au-delà, à toute possibilité pour les populations d’Ukraine de décider de leur propre sort.

Les bombardements de plusieurs villes de l’Ukraine — dont Kiev la capitale, Odessa, Kharkiv ou encore dans l’ouest du pays, non loin de la frontière avec la Pologne — marquent un saut qualitatif dans une dynamique guerrière dont personne ne peut dire jusqu’où elle peut aller.

Les gardes- frontières ukrainiens ont de plus annoncé que les forces terrestres russes sont bien entrées dans le pays.

Et comme toujours, ce sont les peuples qui payent le prix des guerres. Ainsi, outre la quarantaine de morts dans l’armée ukrainienne annoncée par Kiev, la mort d’une dizaine de civils est le signe annonciateur de la catastrophe à venir.

Il ne peut y avoir de solution militaire

au conflit ukrainien

La politique des grandes puissances occidentales montre combien l’extension de l’OTAN et les sanctions contre la Russie sont inefficaces et dangereuses.

Il ne peut y avoir de solution militaire au conflit ukrainien, au risque d’un recours au nucléaire et d’un embrasement de la région sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale. La guerre pour l’énergie menace tous les peuple.

Nous condamnons l’agression militaire que la Russie de Poutine vient de lancer contre l’Ukraine, qui ne peut avoir aucune justification.

Nous dénonçons aussi les politiques de maintien et d’extension de l’OTAN depuis 1991 (après donc la dissolution du Pacte de Varsovie) qui manifeste, tout comme la logique de grande puissance russe, les ambitions impériales des USA et de leurs alliés, au mépris des droits des peuples.

Nous soutenons les forces sociales et politiques qui, en Ukraine, se battent à la fois contre le mépris poutinien du droit à l’autodétermination, contre la privatisation de leur pays par des oligarques et contre leur régime antidémocratique.

Nous appelons à construire une mobilisation internationaliste solidaire des populations ukrainiennes

contre toutes les politiques qui les agressent, pour la démilitarisation des relations internationales.

- Pour le retrait de toutes les forces russes d’Ukraine

- Pour l’arrêt de l’extension de l’OTAN et, au- delà, pour son démantèlement

- Pour l’annulation de la dette qui pèse sur l’Ukraine

- Pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes

Sur ces bases, le NPA appelle aux rassemblements de solidarité qui auront lieu ces prochains jours, à commencer par celui qui se tiendra à Clermont-Ferrand le samedi 26 février à 11H devant la préfecture


vendredi 10 septembre 2021

EN FINIR AVEC LA BARBARIE DE LA « GUERRE CONTRE LE TERRORISME »


Il est des télescopages de calendrier qui dépassent le simple symbole et semblent cristalliser toute une période historique à l'échelle mondiale.

Ainsi, et à quelques jours de distance seulement, le retrait calamiteux de l'armée US d'Afghanistan, le 20e anniversaire des attentats du 11 septembre 2001 et l'ouverture, en France, du procès fleuve des attentats du 13 novembre 2015, apparaissent comme un concentré de bien des phénomènes — et bien des drames — qui ont cours depuis deux décennies.

Deux décennies de guerre et de chaos

Le bilan des 20 ans de la « guerre contre le terrorisme » est aussi catastrophique que ses conséquences sont incommensurables.

Et la leçon, connue depuis le début mais désormais indéniable par le fait du temps, est cuisante : la guerre n’apporte pas la démocratie, ni le bonheur des peuples, et le recours à la force brutale et la violence militaire ne fait qu’engendrer toujours plus de violences et de chaos.

On trouvera difficilement une facette de la vie (inter)nationale de cette planète qui n'ait pas été, à un titre ou un autre, largement déterminée par la « guerre contre le terrorisme » depuis 20 ans : une interminable guerre en Afghanistan, sanctionnée par un retour des Talibans au pouvoir ; un chaos absolu et inédit dans la zone irako-syrienne, culminant dans l’effondrement de l’Irak et l'émergence du monstre Daech ; des dépenses militaires qui se comptent en milliers de milliards de dollars, pour le plus grand bonheur des complexes militaro-industriels ; l'instrumentalisation jusqu'à l'absurde de la rhétorique anti-terroriste à des fins internes et externes par la quasi-totalité des régimes du globe, niant progressivement toute forme d'opposition politique légitime ; le développement de la société de surveillance et sa militarisation à coup d'état d'urgence devenu norme quotidienne, en réalité destinée à mater toute résistance sociale contre le néo-libéralisme décadent ; l’avènement de l'islamophobie comme nouvelle forme dominante du racisme et ciment du suprématisme blanc par delà des différences nationales ; la recrudescence en boomerang d'attentats dans les pays « occidentaux », commis avant tout par des jeunes des pays concernés, symptôme d'un désespoir et d’une marginalisation extrêmes, dont les racines sont à trouver dans des décennies de racisme structurel…

Leurs guerres, nos morts

« Leurs guerres, nos morts», avions-nous affirmé lors des attentats du 13 Novembre, parce que nous n’étions pas de ceux qui refusaient de faire le lien entre ces attentats et les politiques racistes, coloniales et impérialistes de la France et de ses alliés.

Des politiques menées au nom de prétentions civilisationnelles, synonymes de guerres, de misère, de chaos, et véritable carburant pour les groupes jihadistes, au premier rang desquels, à l’époque, le sinistre « État islamique ».

Six ans plus tard, nous navons rien oublié, et nous ne céderons pas plus aujourdhui que nous navions alors cédé aux sirènes du chauvinisme, de « l’union nationale » et de la fuite en avant liberticide et islamophobe.

Le procès des attentats perpétrés par des fanatiques de Daech est donc l’occasion tout à la fois de rappeler notre soutien aux familles et aux proches des victimes, ainsi qu’aux survivant.e.s traumatisés, mais aussi de réitérer notre refus de dédouaner la France et ses dirigeants de leurs responsabilités dans la tragédie du 13 Novembre et dans les futures tragédies qui pourraient survenir.

À l’heure où les infâmes talibans sont revenus au pouvoir à Kaboul avec la complicité des USA, démonstration éclatante du cynisme des artisans de la « guerre contre le terrorisme » et des dangers que celle-ci continue de faire peser sur les peuples, nous le réaffirmons, a fortiori à l'aune d'une crise climatique qui renforce encore notre conviction : les politiques racistes et impérialistes nont apporté, aux quatre coins du monde, que davantage de guerres, doppression, de misère, de discriminations et de violences.

Plus que jamais : écosocialisme ou barbarie !



mardi 5 mai 2015

CHOMAGE, AUSTERITE, GUERRES : HOLLANDE, 3 ANS AU SERVICE DU PATRONAT

Pour souffler les bougies de ses trois ans à l'Elysée, Hollande est invité par ses amis de la monarchie saoudienne adeptes des châtiments corporels, ennemis des femmes et des travailleurs. Mais avant, il est passé récupérer son cadeau au Qatar tout autant réactionnaire: 6 milliards d’euros pour la vente de 24 avions Rafale !
Des guerres contre les peuples

Pour justifier les interventions militaires française, Hollande invoque la lutte contre le terrorisme mais, dans le même temps, il affiche son amitié et vend des armes à des monarchies qui ne cachent pas leurs sympathies pour les djihadistes et les ont indirectement financés.

En réalité, l'armée française récemment accusée de viols sur enfants en Centrafrique, n’intervient nullement pour protéger les populations mais bien pour servir les multinationales en réaffirmant la domination de la France sur des régions d'Afrique qu'elle a largement contribué à mettre à sac. Ces interventions sont l’occasion de  trouver de nouvelles parts de marché et de protéger des intérêts économiques : l’uranium du Niger ou bien les réserves de pétrole et de diamants encore non exploitées en Afrique Centrale.
Et c'est bien pour défendre les intérêts des capitalistes et des marchands d'armes que le gouvernement a décidé d'augmenter de 4 milliards le budget des armées.
Le gouvernement = le Medef

Le président du Medef n’aura même pas eu besoin de le demander, pour qu’Hollande distribue des milliards d’euros au patronat sans aucune contrepartie, banalise le travail le dimanche, mesure-phare de la loi Macron, use de la répression syndicale et sociale en guise de dialogue social. Enfin, entre la possibilité pour les enseignants de signaler des élèves jugés déviants directement au procureur de la république et la loi sur le renseignement votée mardi, il s’agit en fait, dans les deux cas, sous couvert de lutter contre le « terrorisme », de rendre chaque individu suspect potentiel donc bon client pour la mise sur écoute sans autre forme de procès que l’accord du premier ministre.
Le bilan est lourd : en 2015, plus de 8 millions de personnes vivent avec 964 euros par mois, un enfant sur 5 est pauvre, 3,6 millions de personnes sont mal-logées ou sans-abri, une personne sur cinq renonce aux soins de santé, entre 5 et 6 millions de personnes sont en exclusion bancaire et 765 000 ménages sont surendettés.
En finir avec l'austérité et le chômage !

Sourd et aveugle face au mécontentement populaire, le gouvernement prépare de nouvelles attaques. La seule chose qui pourra le faire reculer, c'est nos mobilisations et nos luttes pour la défense de nos droits sociaux et démocratiques et en finir avec une politique au service du patronat et des riches contre les travailleurs et les peuples.

La journée de grève du 9 avril a été l'occasion pour exprimer un ras-le-bol global, un début pour rassembler nos forces. N’en restons pas là, ne laissons pas le terrain à Sarkozy et Le Pen, la seule manière d’en finir avec Hollande, sa clique et le système qu’ils défendent, c’est un nouveau mai 68 qui aille jusqu’au bout !