lundi 28 décembre 2015

SOUSCRIPTION 2015 : LES BONNES RAISONS D'AIDER FINANCIEREMENT LE NPA

Chers amis, camarades, compagnons de route, etc.

Que vous soyez sympathisantE ou intéresséE par le NPA, que vous ayez été militant du NPA ou à la LCR par le passé, que vous soyez membre ou ancien membre d’un autre parti, que vous ayez voté pour P. Poutou, O. Besancenot ou quelqu’un d’autre, ou que vous ne votiez pas (plus), vous connaissez sûrement par cœur notre petit air sur la souscription.

Pourtant, cette année encore, elle sera vitale pour nos finances. Pas de dépenses courantes 2016 sans souscription 2015, sans parler des échéances de moyen terme... Nous ne pouvons compter que sur les cotisations et les dons pour imprimer nos tracts, affiches et autocollants, payer le déplacement des militants dans le cadre d'activités internes ou externes, rémunérer nos quelques permanents, payer nos locaux, participer aux échéances unitaires, proposer des candidatures aux élections, etc.

Quelque soit la forme ou le front de vos luttes quotidiennes, nous serons tous d'accord sur un point : les attaques du gouvernement PS-MEDEF sont inédites et sidérantes, en violence comme en ampleur et en rapidité.

La régression est sociale, nous le savions.
Mais elle est désormais démocratique.

Depuis les attentats du 13 novembre, c'est encore une nouvelle phase de l'attaque des classes dominantes qui s'est amorcée. Sans riposte d'ampleur, nous le savons, la réaction ne s'arrêtera pas là. De leur point de vue, il y a encore beaucoup à détruire. C'est dire le défi qui nous attend. Mais rien n'est terminé, rien n'est perdu.

Se fait donc un peu plus impérieuse chaque jour la construction d'une riposte large, unitaire, démocratique et radicale pour l'auto-organisation, la représentation et la défense immédiate des exploités et opprimés, avec une perspective de transformation révolutionnaire de la société.

Alors faîtes un petit don !
Et merci par avance !
par voie postale : chèque à l'ordre de NPA souscription a envoyé à npa souscription 2015 , 2 rue Richard Lenoir 93100 Montreuil

Si vous êtes imposables, le Trésor Public vous en rendra 66% : Concrètement, si vous donnez 100€, vous n’en paierez finalement que 33€ car vous serez remboursés des 67 euros restants.

Par contre, le NPA, de son côté, aura bien touché 100€ pour mener sa politique !

Bonnes fêtes de fin d'année et que 2016 soit rouge !
Différents articles sur la souscription.


Leurs comptes... et les nôtres



I FASCISTI FORA !

COMMUNIQUE DU NPA 28 DECEMBRE 2015
Surfant sur la vive émotion après l'agression de pompiers la nuit de Noël à Ajaccio, l'extrême-droite a instrumentalisé un rassemblement de soutien aux combattants du feu pour aller en découdre avec les habitants du quartier des Jardins de l'Empereur.

Au prétexte du soutien aux sapeurs attaqués, il s'est agi de cibler comme coupables les habitants de ce quartier populaire ajaccien d'origine maghrébines, musulmanes ou non.

C'est ainsi qu'une salle de prière a été saccagée, des Corans en partie incendiés, avant que la devanture d'un kebab ne soit défoncée, avant que des centaines de personnes ne patrouillent deux jours de suite devant les immeubles, criant des slogans racistes et xénophobes.

Ces actes de nature fascisante n'avaient rien de spontanés, ils étaient au contraire clairement prémédités.

Ils sont inacceptables.

Il ne faut pas que les graves événements d'Ajaccio ne servent de prétexte à faire oublier le racisme d'état et l'islamophobie qui sévissent en France continentale.
Ce sont le président et le premier ministre "socialistes" qui, en accord avec la droite et l'extrême-droite, valident la déchéance de nationalité.

C'est le ministère de l'intérieur qui fait perquisitionner les mosquées et multiplient les assignations à résidence de musulmans.

Ce sont dans les grands médias français que des discours islamophobes et racistes sont proférés quasi quotidiennement.

C'est à l'Assemblée Nationale que Latifa Ibn Ziaten (mère du premier militaire assassiné à Toulouse par Mohammed Merah) a été huée et sifflée.

C'est enfin aux dernières élections régionales en France continentale que le FN a battu ses records en nombre de votants.

Ce qui s'est passé ces derniers jours à Ajaccio n'est que le résultat de 30 ans de politiques et de discours favorisant l'extrême-droite à l'échelle nationale.

Il y a aujourd'hui urgence à reconstruire un large mouvement antifasciste, contre le racisme d'état et l'islamophobie, contre toutes les oppressions. Le NPA y prendra sa part.




mercredi 23 décembre 2015

ETAT D'URGENCE SOCIALE ET DEMOCRATIQUE

Le désaveu qui s’est exprimé lors des élections régionales dans le vote Front national ou dans l’abstention n’y fait rien. Les dirigeants du gouvernement et des partis de droite sont déterminés à continuer la même politique, toute entière au service du Medef.

C’est ainsi que le gouvernement s’est réuni en séminaire ce week-end pour travailler sur de nouvelles propositions de « lutte contre le chômage » qui seraient annoncées officiellement par Hollande lors d’une cérémonie des vœux le 18 janvier 2016.

Une loi El Khomri, du nom de la ministre du Travail serait à l’étude pour « simplifier » le Code du travail, dans le même sens qu’une loi Macron 2, prévue elle aussi, pour continuer à déréglementer la législation sociale, résultat de décennies de luttes ouvrières qui imposait quelques limites à la rapacité du patronat.

PS et droite au service du Medef

Le gouvernement compte de cette manière satisfaire les dernières volontés du Medef dont le président Pierre Gattaz s’exprimait ainsi sur Europe 1, le 15 décembre dernier : « le chômage c’est le problème à régler en France. Il faut absolument créer un état d’urgence économique contre le chômage (…) Il faut remettre l’entreprise en centre du jeu. Il faut redonner de la compétitivité, de l’agilité et de la confiance aux entreprises. Il faut arrêter la dichotomie gauche/droite qui nous tue».

L’offensive annoncée est tellement brutale que le dirigeant de la CFDT, Laurent Berger, s’est senti obligé de réagir : « Il faut commencer par demander des comptes au lieu de se laisser embarquer dans l’escalade des revendications patronales ».

Les 40 milliards par an qui sont offerts au patronat au titre du Pacte de responsabilité, ajoute-t-il, n’ont pas été utilisés pour embaucher. Un secret de polichinelle tant il est évident que les subventions de l’Etat ne servent qu’à enrichir un peu plus les gros actionnaires des grandes entreprises, mais qui a le mérite d’être dit. Avec cet argent, l’Etat pourrait embaucher des centaines de milliers de personnes dans les services publics.

Mais non seulement il n’y a pas d’embauches mais les licenciements se multiplient un peu partout et le nombre des chômeurs s’est accru de 42000 en octobre.

Même chose pour le logement. 3, 2 millions de personnes sont sans logement ou vivent dans des logements très dégradés, a calculé la Fondation Abbé Pierre. Et 12 millions pourraient basculer dans la catégorie des mal-logés. Mais la politique « d’aide au logement » de l’Etat consiste à offrir des exonérations d’impôts aux propriétaires et des subventions aux promoteurs immobiliers.

Il n’est pas question que l’Etat
construise lui-même des logements.
Car sa seule mission est aujourd’hui
d’enrichir les plus riches.

Non à l’union nationale

Hollande et Valls se sont servi des monstrueux attentats du 13 novembre pour imposer un état d’urgence qui restreint gravement les libertés démocratiques, le droit de manifester, de contester, comme l’ont dénoncé des dizaines d’associations dont la Ligue des Droits de l’Homme.

De la même façon, ils utilisent la menace du FN pour promouvoir une union nationale destinée à étouffer les voix des contestataires.

Oui il y a bien une urgence,
mais elle est sociale et démocratique :
un emploi, un salaire décent,
un logement pour toutes et tous,
le droit à la santé et à l’éducation.

Ces exigences minimales, nous ne pourrons les arracher et les garantir que par une mobilisation d’ensemble du monde du travail et de la jeunesse.

Une mobilisation que nous pouvons contribuer à préparer par notre propre organisation, à la base, en créant des liens de solidarité sur nos lieux de travail, dans les lycées, les universités, dans nos quartiers d’habitation.


VALLS, HOLLANDE À DROITE TOUTE !

COMMUNIQUE DU NPA DU 23 DECEMBRE 2015

Le gouvernement Valls Hollande vient d’adopter en conseil des ministres un projet de loi dit de « protection de la nation française » qui vise à constitutionnaliser l’état d’urgence mis en pratique depuis les attentats du 13 novembre.

Ce gouvernement trouve son inspiration
à droite et à l’extrême droite !

Il nous annonce la légalisation de l'état d'exception ​​avec ​des​ pratiques telles l’assignation à résidence ​​sur simple « prédiction d’un comportement de nature à troubler l’ordre public » ​ comme il l'a fait contre des militants anti COP21, la multiplication des gardes à vue ou des perquisitions administratives ​sans rapport avec le terrorisme.

Plus encore, en intégrant dans la loi la possibilité de déchéance de la nationalité française, il donne des gages aux plus réactionnaires qui veulent depuis longtemps remettre en cause le droit du sol, garantie de l’égalité de tous les français devant la loi.

Ce projet de loi
est l’institutionnalisation
du racisme d’état,
l’institutionnalisation de la criminalisation
du mouvement social.
Nous n’avons qu’une réponse : le combattre.
 



samedi 19 décembre 2015

SOUSCRIPTION : SUIVEZ L'ARGENT

Dans un budget, l’argent, ça rentre... et ça sort.
Et au NPA, pourquoi et comment ?


 
D’où vient-il ?

Le NPA n’a que deux sources de financement : les cotisations versées par ses membres, et les dons versés par ses sympathisantEs... et par certains de ses membres.

Eh oui, certains d’entre eux donnent un petit plus en fin d’année. N’ayant pas récolté plus de 1 % des suffrages dans 50 circonscriptions lors des dernières législatives en 2012, soit le ticket d’entrée pour commencer à toucher l’aide de l’État, le NPA ne touche plus un centime d’argent public, comme ce fut le cas entre 2007 et 2012.

Le NPA se retrouve donc dans une situation de totale indépendance financière. Mais celle-ci a, si l’on ose dire, un coût..

Car si le NPA n’a jamais voulu construire son budget courant à partir des aides publiques de la législature 2007-2012 pour justement préserver son indépendance structurelle vis-à-vis de l’État, ce financement lui permettait d’avoir une trésorerie et d’assurer une certaine présence électorale.

La philosophie était donc globalement la suivante : l’argent des militants et sympathisants allaient au budget courant, l’argent de l’État « revenait » à l’État dans le cadre des différents scrutins auxquels ­participaient le NPA.

Dépourvu d’aides depuis 3 ans, le NPA est donc structurellement en capacité d’assurer ses dépenses courantes. Rien de plus.

Notre absence aux élections régionales de décembre en est la conséquence brutale. Nos recettes couvrent donc tout juste nos dépenses. Et nous n’avons pas de trésorerie. En clair, les sous sortent au compte-gouttes, au fur et à mesure qu’ils entrent...

Où va-t-il ?

Pour fonctionner, notre parti imprime un journal hebdomadaire et une revue mensuelle, des tracts, des affiches, des autocollants et des brochures. Il doit aussi en payer le transport et la diffusion.

Si la quasi-totalité des tâches sont prises en charge bénévolement, et ce à tous les niveaux, il doit malgré tout rémunérer quelques permanents indispensables au niveau central.

Nos modestes locaux doivent être assurés, entretenus, leurs charges payées. Des salles et du matériel de sonorisation doivent être loués pour nos meetings ou pour différentes manifestations.

Des commissaires aux comptes doivent être payés pour certifier nos comptes annuels, étape légalement indispensable.

Poste coûteux, les déplacements des militantEs pour les réunions internes, comme ceux de nos porte-parole, doivent être remboursés. Et pourtant, tout le monde voyage en classe éco, personne ne se fait rembourser le moindre sandwich... Et bien sûr, les communications doivent être réglées, des consommables en tous genres doivent être commandés pour « faire tourner la boutique »...

Redisons-le : si toutes ces dépenses courantes sont aujourd’hui couvertes, tout se joue sur le fil, tout est calculé au minimum, sans trésorerie. Chacun de vos euros est donc précieux pour couvrir ce budget minimal, lequel ne comprend donc pas les très coûteuses échéances électorales, et tout mouvement d’ensemble qui, par définition, ne se prévoit pas.

Et que dire des frais de justice qui risquent d’exploser dans le cadre de l’état d’urgence (bientôt permanent...) ?

Car braver l’interdiction de manifester
a aussi un coût financier.
L’argent est bien le nerf de la guerre.


Pour nous aider, un seul geste , participé à la souscription financière annuelle du NPA

La souscription permet une déduction fiscale des deux tiers du montant versé : vous donnez 3 euros, le parti en reçoit 3, l’État vous en reverse 2 ! Moyennant un peu de patience avant le remboursement, vous pouvez donc multiplier votre don par 3 !
Un seul lien pour donner en ligne :
Une seule adresse pour envoyer vos chèques (à l’ordre de NPA souscription) : 
NPA souscription 2015,
2 rue Richard-Lenoir, 93100 Montreuil
Si votre adresse n’est pas celle mentionnée sur le chèque, précisez-le pour que le reçu fiscal arrive à bon port, et si deux noms apparaissent sur le chèque, précisez à qui imputer le don.
Une seule limite de datation et d’envoi :
avant le 31 décembre 2015 à minuit
Et une seule adresse pour toutes vos questions :

vendredi 18 décembre 2015

SOUTIEN A JACQUELINE SAUVAGE SUITE A SA CONDAMNATION EN APPEL

Jacqueline Sauvage a été condamnée en appel à 10 ans de prison pour avoir tué son mari. Passons sur le fait qu’il s’agit d’une peine excessive au regard de celles encourues (de 5 à 8 ans en moyenne pour les mêmes faits), alors même que l'avocat général reconnaît que Jacqueline Sauvage a réagi à une énième violence. En effet, elle n’a pas tiré au hasard mais sur son bourreau pendant 47 ans et violeur de leurs deux filles.

Néanmoins, il a été conclu pour la seconde fois qu’il n’y avait pas légitime défense : « Jacqueline aurait dû porter plainte », « on ne fait pas justice soi-même » affirment-ils.

La plainte pour ses filles victimes de viol par leur père avait été classée sans suite. Comment Jacqueline pouvait-elle encore faire confiance à la justice?

En France, tous les ans 220.000 femmes sont victimes de violences conjugales. Pourtant, seulement 15% d'entre elles portent plainte. Une femme est tuée tous les 2,5 jours sous les coups de son conjoint. Il semblerait que la cour d’appel aurait préféré une Jacqueline morte à une Jacqueline faisant face à son bourreau.

Le NPA dénonce une condamnation qui banalise les violences faites aux femmes. La loi de légitime défense, tel qu’elle existe, n’aide en rien les femmes victimes de violences.

Le NPA vous invite à signez la pétition demandant à François Hollande d'accorder la grâce présidentielle à Jacqueline Sauvage :

Pour signez, c'est ICI

Le NPA appelle à participer au

RASSEMBLEMENT CITOYEN(NE)S
organisé à Clermont-Ferrand
SAMEDI 19 DECEMBRE 2015
à 14H00 devant le TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE
16 rue de l'étoile/rue de l'Ange
Retrouvons -nous en masse devant le TGI,
pour ensemble montrer notre détermination
à faire libérer Jacqueline Sauvage.

Voici l'événement facebook à partager largement : ICI

mercredi 16 décembre 2015

APRES LES ELECTIONS REGIONALES : LE MONDE DU TRAVAIL DOIT REPRENDRE L'INITIATIVE

Au lendemain du second tour des élections régionales, le constat est sans appel : le FN sort grand gagnant et l’ensemble des résultats marquent un approfondissement sans précédent de la crise politique et une droitisation de la société.

Le FN grand vainqueur

Certes le FN n’a pas gagné de régions mais sa progression en nombre de voix est historique. En obtenant plus de 6,8 millions de voix, venant en particulier des ouvriers, des employés mais désormais aussi des artisans et commerçants catégories traditionnellement acquises à la droite, le FN est devenu incontournable.

Malgré sa défaite à obtenir des régions, le FN gagne encore des voix entre le 1er tour et le second tour  exception faite de l’Île-de-France. Le FN obtient 358 conseillers régionaux lui permettant ainsi d’être dans tous les conseils régionaux et d’acquérir toujours plus de crédibilité.

La deuxième victoire du FN lors de ces élections est d’avoir une fois encore dicté les thématiques de la campagne à ses adversaires. En effet, à gauche comme à droite, le thème central de cette campagne a été les questions sécuritaires et l’immigration.

C’est dans ce contexte que la droite qui remporte 7 régions sur 13 dont 2 grâce au retrait du PS a développé une ligne d’ultra-droitisation lui permettant ainsi comme en Île-de-France de gagner des voix au second tour qui s’étaient portées vers le FN au premier tour.

Obsédé par la présidentielle de 2017, Sarkozy continuera donc de reprendre les thématiques du FN et de reprendre à son compte bon nombre de ses propositions.

Où est la gauche ?

Alors que le PS a perdu toutes les élections depuis la présidentielle de 2012, il évite cette fois la catastrophe électorale en sauvant 5 régions sur 13.

Mais une fois encore le constat est sans appel puisqu’il s’agit d’un vote sans adhésion tant sa crédibilité pour mener une véritable alternative est au niveau zéro. Le PS a d’ores et déjà fait le choix de continuer la même politique anti-sociale en faveur du patronat en l’accélérant vers la droite, le tout sécuritaire. Il a décidé qu’il n’y aurait aucun coup de pouce au SMIC et les nouvelles mesures qu’il annonce contre le chômage, développer la « formation », l’apprentissage ou les emplois de service consistent à multiplier les emplois précaires.

Oui, le PS a choisi de continuer sa politique
qui depuis 2012 fait le terreau du FN.

Construire une nouvelle représentation politique

La leçon que nous devons tirer de ces élections, c'est qu’aujourd’hui aucun des grands partis qui alternent au gouvernement ne représente les classes populaires, les opprimé(e)s. Ils sont tous au service des classes possédantes. Comme rêve de l’être aussi le Front national dont la politique est encore plus brutalement anti-ouvrière.

Il est urgent que le monde du travail, la jeunesse, reprennent l’initiative pour lutter contre le patronat, les politiques d’austérité et les politiques racistes de ce gouvernement.

À la sortie de ces élections, la première urgence est de créer un mouvement le plus large possible contre l’état d'urgence mais aussi de construire une véritable alternative pour un nouveau projet émancipateur, pour une transformation révolutionnaire de la société.

Il y a urgence que les opprimé(e)s soient enfin représentés et que les démagogues du FN soient reconnus comme des ennemis des travailleurs et de la population.