Le
18 septembre 2017, environ 10 familles vivent sous tente à
Clermont-Ferrand. Comme tous le lundis, la réponse des services de
l'hébergement d'urgence a été : pas de place pour ces familles.
Pourtant,
les logements existent et les solutions sont possibles mais ces
familles sont exclues du dispositif de l'hébergement d'urgence car
déboutées de leur demande d'asile. Elles subissent la double peine
: risque d'expulsion vers un pays qu'elles ont fui et sans toit.
Des
enfants, des vieilles personnes malades, des hommes, des femmes
vivent sous des tentes plantées un peu partout dans
Clermont-Ferrand.
Pour
être visibles, les familles ont choisi de se regrouper place du 1er
mai à Clermont-Ferrand.
Par
ailleurs, depuis le début de l’année, 84 mineurs isolés
étrangers(MIE) ont été repris par l’Aide sociale à l’enfance
(ASE) qui avait remis en cause leur minorité. Plus de 60 sont
toujours à la rue, exclus de l’ASE, en attente d’une convocation
devant le juge . Plus d’une vingtaine sont logés chez des
militant-es et près de 40 vivent dans un squat à Clermont-Ferrand.
Un
toit, une école, des papiers pour les MIE
Régularisation
des familles menacées d’expulsion
Familles
et MIE à la rue
Tou-te-s
ensemble
place
du 1er mai à Clermont- Ferrand.
Á
partir du 21 septembre 2017
soyons
de plus en plus nombreux
à
les soutenir.
tous
les soirs , à 18H00 rendez-vous place du 1er
mai
rà
lire le tract d’appel : ICI
TOUS
LES SOIRS
A
18H00, r
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