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samedi 4 mars 2023

ALLIER : GRÈVE À SAFRAN DOMÉRAT


 

à lire aussi : Grève à SAFRAN Domérat – Anti Capitaliste 03 (wordpress.com)

Les salarié.e.s de l’Usine SAFRAN (ex SAGEM) de Domérat (près de Montluçon) sont en grève pour leurs salaires. Elles et ils occupent l’usine depuis le 28 février empêchant ainsi toutes livraisons.

Les débrayages se sont succédé depuis janvier 2022 dans le groupe Safran Electronics et Défense (SED).

Ce groupe a distribué en 10 ans plus de 6 milliards d’euros aux actionnaires. Aujourd’hui la seule proposition qui est faite par la Direction aux organisations syndicales est une augmentation générale de 2,5%, bien loin de faire le compte, assortie de quelques miettes le tout dans le contexte inflationniste que toutes et tous nous connaissons.

Comme le dit Sandra, déléguée CGT « les profits faits par Safran prouvent qu’ils ont les moyens de nous payer correctement » ,le 28 février au matin, les salarié.e.s ont donc décidé de débrayer soutenu.e.s par les syndicats CGT et FO de l’usine de Domérat.

La Direction locale se dit dans l’incapacité de négocier et renvoie à la Direction générale.

Le mouvement a toutes les chances de s’étendre puisque les salarié.e.s de l’usine de Fougères se sont également mis en grève.

La question de la solidarité est d’ores et déjà posée.

Le NPA 03 affirme sa disponibilité à participer à toute initiative unitaire permettant d’affirmer la solidarité et le soutien du monde du travail avec les grévistes de Safran.



jeudi 13 octobre 2022

FACE AUX MENACES DU GOUVERNEMENT, SOLIDARITÉ AVEC LES RAFFINEURS EN GRÈVE !

 

Alors que dimanche la Première ministre assurait que la situation des stations-service allait « s’améliorer tout au long de la semaine », la pression du gouvernement est montée d’un cran mardi après la reconduction de la grève des salarié.e.s de Total Énergies et ExxonMobil.

Macron en a appelé à la « responsabilité » des directions des deux groupes et des syndicats, renvoyant dos à dos patrons et salarié.e.s.

Pas un mot sur les 16 milliards de bénéfices de Total, ou sur les indécents 2,6 milliards d’euros d’acompte exceptionnel versé aux actionnaires !

Bruno Le Maire s'était dit prêt à « réquisitionner les moyens nécessaires pour libérer les dépôts et faire fonctionner les raffineries ».

Une menace qu’Élisabeth Borne s’apprête à exécuter chez Esso-ExxonMobil considérant que l’accord signé par la CFDT et la CGC rend caduque la grève.

Après avoir expliqué qu’il fallait « négocier », le gouvernement s’en prend donc directement au droit de grève en menaçant les salarié.e.s qui entendraient poursuivre la mobilisation.

Mais les raffineurs tiennent bon, et ils peuvent compter sur une solidarité venue de nombreux et nombreuses salarié.e.s qui ont bien compris, contrairement à ce que voudrait nous faire croire la propagande gouvernementale complaisamment relayée dans les grands médias, qu’en se battant pour leurs salaires, les raffineurs ne faisaient que réclamer leur dû.

Avec l’inflation, le coût de la vie qui explose, beaucoup de personnes ne se chauffent plus ou ne peuvent pas boucler leur budget, et la seule réponse de Macron et du patronat est de vouloir s’en prendre toujours plus à nos droits, en attaquant l’assurance chômage et les retraites, et en refusant toute réelle augmentation des salaires.

La vérité, c’est que les salarié.e.s des raffineries ont mille fois raison de se battre pour obtenir une part des richesses qu’ils et elles ont contribué à créer.

La vérité, c’est que les augmentations de salaire sont la meilleure façon de taxer les superprofits de Total, ExxonMobil, et de tant d’autres…

Personne ne le fera à notre place.

Alors, pas d’hésitation, la solidarité doit se faire entendre, le soutien aux grévistes des raffineries et d’ailleurs doit être total, et leur combat s’étendre à d’autres secteurs !

À Clermont-Ferrand ,

Pour soutenir les grévistes en lutte

un rassemblement

aura lieu le vendredi 14 octobre

à 18H devant la préfecture

APPEL ci-dessous



dimanche 25 septembre 2022

CONTRE LA VIE CHÈRE, POUR LES SALAIRES ET LES SERVICES PUBLICS, TOUTES ET TOUS EN GRÈVE ET DANS LA RUE LE 29 SEPTEMBRE

 

L’été a été marqué par une poursuite de l’inflation, avec en perspective une accélération de l’augmentation des prix de l’énergie, entre autres et notamment l’électricité et le gaz, le maintien d’un prix très élevé pour les carburants, et une flambée des prix de l’alimentation.

Cette augmentation du coût de la vie s’est en outre doublée d’une multiplication des événements climatiques extrêmes (sécheresses, canicules, incendies, violents orages), qui illustre non seulement la question de l’urgence climatique, mais aussi à quel point l’abandon des services publics (Office national des forêts, Météo France, premiers secours…) réduit notre capacité à faire face, collectivement, aux crises qui s’accélèrent.

Une offensive austéritaire tous azimuts

« Fin de l’abondance », « sacrifices » , « efforts »

Le gouvernement prépare une nouvelle salve de contre-réformes.

*celle de l’assurance chômage pour appauvrir et pressuriser davantage les demandeurs/ses d'emplois,

*celle des retraites pour travailler plus longtemps,

* mais aussi une loi de finance 2023 qui détruira de nombreux services publics et offrira de nouveaux cadeaux au patronat, comme la suppression d'un impôt de production, la contribution sur la valeur ajoutée (CVAE).

Un cadeau de 8 milliards d'euros en période de « sobriété » !

C'est un véritable rouleau compresseur néolibéral qui veut achever la destruction de nos acquis sociaux et affaiblir toujours plus nos capacités de résistance collective.

Il vise à nous diviser en accentuant notre responsabilité individuelle, pour mieux masquer que c'est une minorité de grands groupes capitalistes qui sont responsables des crises.

Cette nouvelle offensive implique la poursuite d’une politique autoritaire : pour faire passer le texte en force, Macron envisage d'intégrer la réforme des retraites dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, voire d’utiliser l’article 49-3.

Un gouvernement incapable de répondre aux enjeux

Face à ces attaques, nous ne pouvons pas nous contenter de demi-mesures.

Les entreprises du CAC 40 ont vu leurs bénéfices augmenter de 24 % en un an ! Et Shell ou Total Énergie profitent de la crise énergétique pour augmenter grassement leurs prix et faire des profits faramineux.

Aujourd’hui, une des mesures vitales seraient qu’aucun revenu ne soit en dessous de 1800 euros car il est impossible de vivre correctement avec cette somme.

ll faut aussi imposer une augmentation d’au moins 300 euros nets mensuels.

Face à l'inflation galopante, il faut également indexer les revenus sur les prix, car quand les prix montent, les revenus doivent augmenter en proportion.

MOBILISONS-NOUS,

TOUS ENSEMBLE POUR STOPPER

LA POLITIQUE DE MACRON

Les raisons de la colère sont multiples, mais pour imposer aux capitalistes ces mesures radicales il faut regrouper nos résistances et construire une contre-offensive massive et unitaire.

Cela commence avec la journée interprofessionnelle de grève pour les salaires du jeudi 29 septembre (à l'appel de la CGT, de Solidaires , de la FSU, de l’UNEF, de la voix lycéenne et de la confédération paysanne)

à Clermont-Ferrand , le Jeudi 29 septembre à 10H30 Place des Carmes


D’autres manifestations auront lieu en Auvergne

à Issoire à 17H Halle aux grains

au Puy en Velay à 10H30 Place de la Cadelade 

à Aurillac à 9H place des droits de l'homme

à Montluçon à 14H30 Place J.Dormoy

à Vichy à 14h30 Place de la poste

à Moulins à 14H30 Place de la liberté

Faire de cette rentrée sociale une démonstration de force de notre camp social peut constituer une première étape d'une riposte anti-gouvernementale et anti-patronale, qui ne doit pas rester sans lendemain.

C'est d'un véritable plan de bataille dans l'unité et la durée dont nous avons besoin.

Pour mettre ce système, hors d’état de nuire et faire reculer l’extrême droite et ses idées, nous devons prendre nos affaires en main, nous rassembler ( jeunes, travailleurs/ses, retraité.es, sans emplois, personnes en galère…) pour décider ensemble de quelles actions menées collectivement pour obtenir satisfaction de nos revendications.

mardi 28 décembre 2021

AUCHAN, LEROY MERLIN , DÉCATHLON ….LES SALARIÉ.ES DE MULLIEZ EN GRÈVE POUR DES AUGMENTATIONS DE SALAIRES


La pression est forte sur la famille Mulliez, au top 10 des familles les plus riches de France, avec un pactole estimé entre 30 et 40 milliards… ! Les salarié-e-s de Leroy Merlin, après avoir bloqué les entrepôts et manifesté dans de nombreux magasins, ont obtenu une augmentation de plus de 4%.

Devant cette mobilisation, sans précèdent dans cette entreprise, la direction générale n’a pas eu d’autres choix que de rouvrir les négociations salariales.

Chez Auchan, la grogne des salarié-e-s se fait aussi entendre.

Après de multiples plans sociaux, des fermetures de magasins, la fermeture des SAV et l’arrivée des caisses automatiques massivement sur l’ensemble du parc, les salarié-e-s ont vécu les propositions d’augmentation de salaires de la direction comme un véritable bras d’honneur…

2,4%, sans prise en compte de l’augmentation du SMIC, en Octobre, ce qui revient à +0,2% pour les plus bas salaires… !!!

Et les bas salaires, chez Auchan, ça concerne entre 70 et 80% des employé-e-s !

Après le statut de héros, gagné lors de la crise sanitaire, les salarié-e-s de la grande distribution retournent au statut de pauvre… Le vendredi 17 Décembre, une mobilisation a eu lieu avec une intersyndicale CGT CFDT FO , aux quatre coins de la France, en magasin et en entrepôt, .

Ce mouvement a été bien suivi par les salarié-e-s avec des manifestations spontanées dans les magasins, comme à Béziers, Clermont-Ferrand, Roncq ou encore Illkirch.

Pendant 5 jours, l’entrepôt de Carvin a été bloqué par un piquet de grève. Les approvisionnements dans le nord se sont raréfiés et les rayons se sont vidés.

Là encore, la radicalité d’action est historique dans cette entreprise, démontrant le ras le bol des salarié-e-s et leur détermination.

Face à ce mouvement, la direction générale a usé des vieilles ficelles dont elle a le secret, pour casser la dynamique de lutte en signant un accord avec les syndicats maison CFTC et CGC...

Un accord ou le salaire minimum au 1er Janvier passera à 10,53€ alors que le SMIC sera à 10,57€…

Honteux !

Des revendications plus que légitimes.

Pourtant, Auchan n’a pas été touché par la crise, au contraire… Avec un bénéfice d’1,9 milliard en 2020, Auchan a connu une de ses plus belles années. Les actionnaires ne se sont pas oubliés, avec un dividende de 750 millions !!!

Mais qui produit les richesses de l’entreprise ?

Qui a permis à Auchan de s’agrandir à l’international ?

Qui a permis aux Mulliez de créer des marques à gogo (Leroy Merlin, cathlon, Kiabi, Kiloutou, Norauto…) ?

Ce sont les salarié-e-s, ces premier-e-s de corvée, qui ont vu plus de 6000 postes supprimés en 10 ans, sur qui on économise plus de 600 millions d’euros de frais de personnel en pleine crise sanitaire, où l’ancienneté n’est pas reconnue et où le SMIC et le temps partiel sont la norme.

Cette crise sanitaire aura permis de mettre en lumière toutes celles et tous ceux qui, dans la grande distribution, ont continué à travailler malgré les risques pour eux et leurs familles.

Mais, le gouvernement et le patronat ont vite éteint les projecteurs pour que ces travailleuses et travailleurs retournent dans l’obscurité de la précarité.

Le NPA apporte tout son soutien à ces luttes qui sont, dans la grande distribution comme ailleurs, légitimes.

Les richesses produites dans les entreprises, ne doivent pas être confisqué-e-s par une poignée de milliardaires, au détriment du plus grand nombre

Pour ne pas perdre nos vies à la gagner, continuons le combat !



samedi 2 octobre 2021

EMPLOIS, SALAIRES, DROITS SOCIAUX, LE 5 OCTOBRE TOUTES ET TOUS EN GRÈVE ET DANS LA RUE !

 

Depuis 18 mois, le gouvernement et le patronat ont pris prétexte de la crise sanitaire pour détruire encore un peu plus les droits sociaux des travailleurs/ses et leurs conditions de travail.

Non contents de leur gestion dramatique, autoritaire et mensongère de l’épidémie de Covid-19, ils en ont profité pour accélérer leurs attaques, à l’image de la contre-réforme de l’assurance chômage qu’ils entendent appliquer à partir du 1er octobre.

Et nous n’oublions évidemment pas la réforme des retraites que le gouvernement attend de pouvoir remettre sur la table à tout moment… Celle-là même contre laquelle nous nous sommes mobilisés avec force juste avant le début de la crise sanitaire !

Augmentez nos salaires !

Leur politique est claire : d’un côté taper sur les chômeurs/ses, en réduisant drastiquement leurs droits au chômage et en baissant leurs allocations, de l’autre précariser et faciliter les licenciements dans le privé comme dans le public.

Et pour toutes et tous les autres, à qui l’on veut faire croire qu’ils et elles ont bien de la chance de garder un emploi, il faudrait se satisfaire de conditions de travail toujours dégradées, d’horaires infernaux et d’un salaire de misère...

Question salaires d’ailleurs, c’est le gel du point d’indice pour les travailleurs et travailleuses du public, et un SMIC à 1250 euros nets à temps plein pour le privé…

Et tandis que les salaires baissent ou stagnent, les dépenses, elles, ne cessent d’augmenter, à l’image de l’augmentation de plus de 12 % du prix du gaz avant le début de l’hiver. C’est bien pour cela qu’une augmentation des salaires et leur prise en compte dans le calcul de nos retraites n’aurait de sens pour notre classe sociale que si elle est indexée sur le coût de la vie (le coût du logement, des biens de première nécessité, de l’énergie).

Il est possible de se battre... et de gagner !

Le NPA revendique une augmentation générale des salaires de 300 euros nets pour toutes et tous, et pas un salaire en dessous de 1800 euros nets.

Pour que nous puissions toutes et tous travailler, il est nécessaire de répartir le travail entre tous. C’est pour cela que nous exigeons également l’interdiction des licenciements et la baisse générale du temps de travail.

Pour financer tout cela, de l’argent il en y a !

Au 1er juin 2021, les seuls milliardaires français totalisaient 492 milliards d’euros de patrimoine, soit près d’un cinquième du produit intérieur brut français... Indécent !

Malgré la situation difficile que nous connaissons, le monde du travail ne se laisse pourtant pas faire !

Dans plusieurs entreprises, dans différents secteurs professionnels, elles et ils s’organisent pour résister aux attaques. Certaines sortent même victorieuses de leurs luttes, comme les femmes de ménage de l’entreprise sous-traitante Arc-en-ciel qui travaille sur l’université de Jussieu.

À Transdev et ailleurs, mobilisation générale !

Dégradation des conditions de travail, extension sans fin des horaires, réductions d’effectif et salaires de misèreC’est notamment contre tout cela que se mobilisent en ce moment les conducteurs/trice de Transdev depuis plusieurs semaines, car c’est tout ce que vont leur apporter l’ouverture à la concurrence et la privatisation des services de transport.

Une lutte partie de Seine-et-Marne, qui continue de s’étendre à d’autres départements et qui, on l’espère, pourrait bien s’étendre à l’ensemble du secteur du transport !

Ce mardi 5 octobre, journée de grève et de manifestation interprofessionnelle, doit être le moment où toutes ces luttes, toutes ces revendications, se retrouvent dans la rue pour construire le « toutes et tous ensemble » nécessaire contre ce gouvernement au service des riches et du patronat.

Aux côtés des chômeuses et des chômeurs durement attaqués, pour défendre l’ensemble de nos droits sociaux, ce mardi 5 octobre ne doit être qu’un début !

Participons nombreuses et nombreux aux différentes manifestations qui ont lieu en Auvergne

à Clermont-Ferrand, à 10H30 Place des Carmes

au Puy en Velay, à 10H30 Place de la Cadelade

à Montluçon, à 10H30 Place Jean Dormoy

à Moulins, à 10H30 Place de la liberté

à Vichy, à 10H30 Place de la poste

à Aurillac, à 10H30 Place des Carmes



mercredi 3 février 2021

LUTTE DES SALARI .É.E.S DE L’ADAPEI 63

 


Au niveau national , la direction de l’ADAPEI a décidé unilatéralement de dénoncer les accords de l’ADAPEI datant de 1999 qui régit les accord du temps travail, horaire, congés pour le personnel.

La conséquence de cette dénonciation entraînera des répercussions importantes sur les conditions de travail du personnel avec des changements d’horaires, la diminution des repos, de plus en plus de flexibilité ce qui entraînera une fatigue plus importante des salariés avec automatiquement une dégradation du service rendu aux personnes accueillies et leur entourage.

C’est pour cela que les salarié.e.s de l’ADAPEI du Mans ont été les premier à se mobiliser dés le 7 janvier et sont encore en lutte. Ce sont mis aussi plus récemment en lutte le personnel de l’Orne.

Dans le Puy de Dôme, les salariés des différents établissements ce sont mis en grève dés le 11 janvier

L’ADAPEI dans le Puy de Dôme c’est environ 1000 salariés répartis sur différents établissements.

Ce mouvement de grève toujours en cours est soutenu par l’intersyndical CGT,CFDT,FO.

De nombreuses familles participent à cette mobilisation et la soutiennent malgré les pressions qui leur sont faite par la direction.

Des pressions sont faites par les cadres qui fliquent les salariés qui auraient le malheur de parler aux délégués syndicaux.

Comme beaucoup de directions en cas de mouvement de grève dure et longue, celle de l’Adapei a demandé au préfet de mettre en place des réquisitions et les ont mis de manière abusive pour empêcher le droit de grève.

Pour informer largement de leur lutte et de leurs revendications, le personnel a élaboré une pétition à destination des familles des bénéficiaires et de l’ensemble de la population.

Le NPA soutien leur lutte et exige que leurs revendications soit satisfaites et vous invite à faire connaître très largement et à signez massivement cette pétition

https://a5.change.org/p/adapei-63-soutenir-les-professionnels-du-secteur-handicap-pour-garder-leurs-conditions-de-travail?redirect=false

Le NPA appelle à soutenir financièrement cette lutte en participant activement à la caisse de grève

https://www.leetchi.com/c/soutien-aux-salaries-grevistes-de-ladapei-63

Des contacts ont été pris avec les autres salarié.e.s des structures qui se mobilisent ou veulent se mobiliser que ce soit ceux du Mans ou de Lyon pour voir ce qu’il est possible de faire ensemble.

La lutte se poursuit car pour l’instant rien a été obtenu à part une mise en place de réunions de médiation (via l’inspection du travail) entre les organisations syndicales et la direction afin de renouer le dialogue mais il n y a eu aucune avancée sur leurs revendications.

De nouvelles ouvertures de négociations devraient avoir lieu vers le 5 février avec de nouveaux temps fort de mobilisations pour élargir leur lutte. 

Rassemblement du 18 janvier 2021



 

Rassemblement du 22 janvier 2021



Rassemblement du 25 janvier 2021