Lycéen-n-e-s,
étudiant-e-s, professeurs, parents d’élève , tous dans la rue le
premier février pour dire NON à la réforme des universités.
Sur
Clermont-Ferrand , une manifestation est organisé à l’appel de
plusieurs organisations
MANIFESTATION
JEUDI
1er FÉVRIER
10
H00 Place Delille
suivi
d’un ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
à
11H45 Amphi 3 fac de lettre à Gergovia
à
lire le communiqué commun ci-dessous
Mardi
23 janvier à 13H30, nous nous sommes rassemblé·e·s devant la
faculté de droit dans laquelle se déroulait la Commission de la
Formation et de la Vie Universitaire (CFVU). La voix étudiante
opposée à l'instauration d'une sélection sociale à l'entrée de
l'université n'a pu être portée que par une seule élue UNEF.
Des
capacités d'accueil et attendus locaux ont donc été adoptés par
la majorité des élu·e·s de la commission ce mardi tandis que ces
votes avaient été empêché le mardi 9 par un envahissement de la
commission.
Alors
que le texte de loi “Orientation et réussite des étudiants”
n’est pas ratifié car encore en débat au Sénat, les universités
et l'UCA, mettent déjà en place les modalités de la réforme
puisque la CFVU a rendu un avis positif pour les capacités d'accueil
et les attendus locaux.
Pour
rappel, le “Plan Étudiants” met fin au principe du bac
comme premier grade universitaire permettant l’accès à
l’Université sans autres conditions. C’est donc un choix
politique fait par le gouvernement entraînant un changement radical
de l’accès à l’Enseignement Supérieur et la Recherche.
Cette
réforme, sous couvert «d'accompagnement personnalisé»,
entérine l'individualisation des parcours de formation et va mettre
à la fois les étudiant·e·s et les universités en concurrence.
Processus long pour la mise en place duquel les récents
gouvernements se sont donnés du mal.
À
Clermont-Ferrand, le 1er février doit être un tournant dans la
mobilisation grâce à la mise en dynamique de l’ensemble des
défenseur·euses du service public de l’ESR.
JEUDI
1er FÉVRIER
MANIFESTATION
10H (départ de Delille)
AG
À LA FAC DES LETTRES à11H30 en Amphi 3
Nous-
revendiquons donc :
-
le vote de capacités d'accueil à hauteur de 1,5 millions, soit le
nombre de bachelier.ière.s de l'année scolaire 2017/2018, dans
toutes les filières ;
-
le refus de la mise en place d'attendus locaux ;
-
un réinvestissement massif de l’État dans l’Enseignement
supérieur et la Recherche, à hauteur des besoins ;
-
la fin de toute tentative de mise en concurrence que ce soit entre -
lycéen.ne.s, étudiant.e.s ou Universités.
Nous
ne voulons pas de la loi Vidal : l’Université se doit d’être
émancipatrice et de rester ouverte à tou.te.s !
tract
commun ci-dessous
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