Voici,
venu le temps des élections régionales qui créeront peu
d'enthousiasme, mais permettrons à certains de gagner des places
hiérarchiques, tout en faisant croire qu'ils peuvent influencer sur
les événements. Parmi ceux
là,
le Front de Gauche, glorieux épithète que certains partis
n'hésitent pas à mettre avant plutôt que leur propre nom.
Si
, on parle ainsi d'un front politique dont la définition du
dictionnaire est celle-ci :
« Organisation
politique regroupant plusieurs partis, une large tendance de
l'opinion pour résoudre une série de problèmes donnés »
Depuis
pas mal de temps au Front de Gauche, ça ne ressemble pas à cette
définition .Le Parti Communiste, le Parti de Gauche , Ensemble
(amalgame de particules) qui ont adhérés à ce front désuni ,
la
démonstration en a été faite en particulier
lors
des dernières élections municipales.
Le
Parti Socialiste n'as pas osé s'approprier le slogan « Front
de Gauche » mais a organisé un vote pour le rassemblement de
toute la gauche, eux y compris bien sûr, on se croirait à
l'émission « faut
pas rêver »
Il
ne suffit pas d'écrire être du Front de Gauche pour qu'il existe,
il en faut bien plus , en particulier avoir une réelle détermination
pour combattre ce qui gangrène la vie des travailleurs ,
l'exploitation de l'homme par l'homme, le capitalisme.
Le
chômage , ce mal qui comme la lèpre, ronge notre société, qui
inlassablement poursuit son ascension. Hollande, quand à lui , a
promis d'inverser la courbe du chômage en vain.
Il
est vrai que la côte de popularité du chef de l'état
est
inversement proportionnelle
à
la courbe du chômage
Ce
n'est pas le faite de dire « il
y a une embellie de l'économie »,
« on
sent un frémissement de la croissance » qu'il
décline avec en choeur les ministres sous la baguette de Valls qui
fera changer les choses. Après, nous avoir fait avaler « des
couleuvres », aujourd'hui,
c 'est
« un boa » que
les socialistes veulent nous faire avaler.
Jour
après jour, ce sont des attaques aux droits des travailleurs, à la
liberté , au syndicalisme , tout ça avec l'appui du MEDEF. Le
chômage persistant, Hollande s'essaye à remplacer les américains
« gendarme
du monde ».
La
France
est en guerre à tout va, l'Afrique, le Moyen Orient. Il n 'y a plus
d'argent pour régler les problèmes sociaux , mais aucune
restriction pour jouer les va-t-en guerre. A défaut, cela permet de
vendre notre matériel militaire, entre autre les avions Rafale.
Cette débauche de déploiement de troupes est accompagnée de spots
publicitaires pour inciter à s'engager dans
l'armée de terre, de l'air et de la marine.
Est-ce
un moyen de combattre le chômage ?
Aujourd'hui,
tous nos politiques parlent de l'état de droit, du droit
républicain, du politiquement correcte, surtout suite aux deux
malheureuses chemises arrachées à Air France. Le droit d'accord
mais pas le droit arbitraire comme ils le conçoivent alors qu'ils
savent si bien bafouer les lois.
La
vie aujourd'hui pour les travailleurs est difficile : peur de
perdre son emploi, parcours du combattant pour en trouver un, en
particulier les jeunes, pouvoir d'achat en berne, difficulté pour se
soigner correctement et bien d'autres méfaits encore.
Ne
baissons pas les bras, réagissons,
avoir
confiance en l'avenir
passe
par nos forces de lutter,
de
faire en sorte de pousser à l'unité
de
tous ceux apte à nous défendre
C'est
la nécessité d'un affrontement
pour
arracher nos moyens d'existence
à
ceux qui détiennent tous les pouvoirs
sur
notre travail et notre vie
JJM
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